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Devenue femme en 2015, Clarisse, enseignante, doit subir les attaques de certains collègues: "Ces profs n'ont pas leur place dans l'enseignement"

"J'ai entamé ma transition en 2015, sans changer d'école, c'était un combat quotidien. Tout le monde me voyait comme un homme, mais je n'en étais pas un. Je n'en ai jamais été un et du jour au lendemain, j'ai pris ma décision de m'affirmer tel que j'étais", explique Clarisse, enseignante. Ce soir, dans votre magazine du lundi "Images à l'appui", nos équipes se penchent sur la transition sexuelle. 

Les élèves du club de karaté et de son école acceptent pour la plupart facilement sa transition. En revanche, c'est avec certains collègues enseignants que Clarisse rencontre plus de difficulté et doit parfois faire face à des comportements irrespectueux : attaques verbales, et même vol de photos privées.

"Qu'on le refuse pour des convictions intimes, ce n'est pas un problème. Mais quand on est enseignant, on est tenu à la discrétion et à la neutralité. Certains collègues, par des moyens détournés vont venir vous pourrir la vie et ces profs-là n'ont pas leur place dans l'enseignement. Ils en ont le titre, mais pas les capacités humaines", explique Clarisse.

Retrouvez l'intégralité de cette émission ce soir, à 19h50, sur RTL-TVI et RTL Play.

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Commentaires

3 commentaires

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  • Le problème de ces enseignants anti-transgenres est peut-être purement culturel...

    Jean Valjean
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  • Si l'opération ne coûte rien aux contribuables, chacun e est libre de son corps. Respect envers toutes ces personnes.

  • La médecine et la chirurgie ont fait des "progrès" qui hélas sont détournés, que l'on soit H ou F de naissance, on devrait le rester ! Pas d'opération de chirurgie.

    Alain T.
     Répondre