Accueil Actu

Le prince Laurent compare sa famille à la Stasi: "S’il veut prouver que demain il peut être un merveilleux homme d’affaires, rien ne l’empêche de renoncer à sa formidable dotation""

Dans l'émission On Refait le Monde, Dominique Demoulin et ses chroniqueurs reviennent sur la polémique autour des dernières sorties du prince Laurent.

Le prince Laurent a lancé jeudi une violente charge contre les derniers souverains belges et leur entourage, qu'il a comparés à la Stasi et accusés d'avoir "saboté" ses activités professionnelles. "Ma famille ne m'a jamais soutenu. Cela a commencé avec mon oncle, le roi Baudouin. Puis avec mon père, Albert II. Avec eux, c'était la Stasi", avait-il déclaré en faisant allusion à la police politique de l'Allemagne de l'Est. Sur le plateau de l’émission On Refait le Monde, les chroniqueurs sont revenus sur ces déclarations du Prince. "C’est pathétique, c’est comme s’il était vraiment persuadé qu’il aurait pu être un formidable homme d’affaires si on l’avait laissé faire. Dans le fond dans cette histoire, il met ses échecs successifs sur le dos d’autres personnes. C’est assez classique psychologiquement. S’il veut prouver que demain il peut être un merveilleux homme d’affaires, rien ne l’empêche de renoncer à sa formidable dotation de 300.000 euros que pas mal de gens seraient heureux d’avoir chaque année et de prouver qu’effectivement il peut renoncer à sa dotation et faire des affaires", a indiqué Michel Henrion, expert en communication.

"Cette sortie pour moi est une sortie de trop parce qu’il est aimé le prince Laurent. Dans la population, il est quand même aimé. À chaque fois qu’il y avait des attaques contre lui, on se rend compte que des gens le défendaient. Ici ça fait vraiment Caliméro, c’est trop injuste. Et alors sa comparaison avec la Stasi, pour moi c’est vraiment le mot qui dérape. J’avoue que cette saga-là, autant que la saga Le Pen, elle commence à m’énerver et j’en ai marre honnêtement de voir tout le temps l’interview du Prince ceci, du prince cela, c’est toujours le même type d’interview où on sait qu’il a des phrases-choc, on sait que ça va être bingo", a jouté la journaliste Emmanuelle Praet.

À la une

Sélectionné pour vous