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Avant Halloween, une association liste les dix sites britanniques les plus effrayants

Spectres qui passent à travers les murs, hurlements ou étranges rires d'enfants: l'association English Heritage a répertorié à l'approche d'Halloween les dix sites les plus effrayants sous sa garde, publiés mardi sur son site web.

La palme décernée par ses quelque 1.800 employés revient au château de Bolsover (nord-ouest de l'Angleterre), construit sur un ancien cimetière, du XVIIème siècle: deux ouvriers ont été terrifiés par l'apparition d'une femme qui a disparu à travers le mur. Et un petit garçon tenant la main des visiteurs inconscients de cette présence a donné des frissons au personnel.

Dans les ruines imposantes du château médiéval de Kenilworth (centre), rôdent les fantômes d'un jeune garçon courant dans les écuries et d'une femme. Bruits de pas, berceau se balançant tout seul... les phénomènes inexpliqués abondent, relève English Heritage sur son site.

A Carisbrooke, sur l'île de Wight (sud) les apparitions sont monnaie courante, comme celui du visage pâle d'Elizabeth Ruffin, fillette noyée dans un puits, ou de la "Dame grise", un fantôme au long manteau accompagné de quatre chiens.

Au château de Pendennis, en Cornouailles (sud-ouest), les visiteurs ont entendu les cris perçants d'une fille de cuisine tombée dans le vide lorsque le château fut assiégé pendant six mois au XVIIème siècle.

L'abbaye de Whitby (nord) dont les ruines gothiques ont inspiré le père de Dracula, l'écrivain Bram Stoker, est traversée de courants d'air froids et de tapes sur l'épaule inexpliquées.

Enfin dans une histoire plus proche, dans la maison de Charles Darwin, le bureau du célèbre savant du XIXème auteur de la théorie de l'évolution s'est mis à tourner sur lui-même sans s'arrêter jusqu'à ce que le personnel quitte la pièce.

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