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Les "Petites Abeilles", une jeune marque bruxelloise connaît un succès grandissant à travers le monde grâce au prince George. Ce dernier a porté une barboteuse made in Belgium lors de son grand voyage en Nouvelle-Zélande et en Australie.
Nouvelle icône de mode, le petit prince George crée la tendance à chaque sortie officielle. Comme tous les bébés royaux, le fils de Kate et William a reçu de nombreux cadeaux lors de sa naissance. Parmi ces présents, une barboteuse blanche en provenance de Bruxelles qui lui a été envoyée par Désirée Von Hohenlohe et son mari, Thibault d’Ursel. Les Belges ont créé la marque "Les Petites Abeilles" en 2013. "On savait que Kate et William allaient avoir un bébé à la même période que nous, alors on s'est dit que c'était un beau cadeau de naissance. Quelques mois plus tard, nous avons reçu une carte de remerciement", a confié la créatrice, qui n'imaginait pas un seul instant la suite des évènements en envoyant le petit colis. En effet, à la grande surprise du couple, le bébé royal a porté le vêtement lors son grand voyage en Nouvelle-Zélande et en Australie. "On était ravi en voyant les images par hasard. On a envoyé la barboteuse en octobre sans imaginer que le prince la porterait un jour. Nous n'avions pas fait cela pour la publicité car nous ne possédions pas de point de vente pour nos vêtements. A ce moment-là, nous avions juste une page Facebook. Notre site internet existe seulement depuis une petite semaine", a précisé Désirée.
Désirée a contacté le New York Times
Mais après la joie, le couple a déchanté car les médias, mal informés, se sont trompés sur la provenance de la barboteuse. Ils ont cité une marque anglaise qui réalise des vêtements similaires. Désirée Von Hohenlohe a décidé de contacter le New York Times afin qu'il corrige la grosse erreur. Les journaux ont rectifié la faute et les blogs consacrés aux vêtements du prince George ont relayé la correction en parlant de la marque belge.
"Nous n'avions que 10 pièces"
A partir de ce jour-là, les ventes des "Petites Abeilles" ont explosé. "Cela nous a fait une grande publicité et le boom a commencé à cet instant", a expliqué Désirée. "Nous avons reçu des centaines de commandes alors que nous n'avions que 10 pièces. Ce qui était suffisant pour les petites ventes que nous faisions jusqu'alors. Nous avons commandé de nouvelles barboteuses mais nous serons bientôt en rupture de stock", a-t-elle précisé. Désormais, du Japon à l'Australie, le monde entier s'arrache les petites barboteuses made in Belgium.
