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Marie-Jeanne fait face à la crise "en se passant du superflu"

Selon Marie-Jeanne, une internaute de RTLinfo, si on se privait du luxe ou du superflu, on vivrait mieux, surtout en ces temps de crise. Elle se souvient de son enfance: "Il y avait déjà beaucoup de taxes, on était 5 à la maison, mais je n'ai jamais entendu mes parents se plaindre", a-t-elle témoigné.

Marie-Jeanne, une internaute de RTLinfo, nous a écrit pour faire part de son avis, à la veille de la journée d'action syndicale. Elle estime que les temps ne sont pas forcément plus durs qu'avant, mais que notre train de vie nous pousse à faire trop des dépenses plus importantes.

Le témoignage de Marie-Jeanne: "Se priver d'un certain luxe qui n'est parfois pas nécessaire"

"Les syndicats ne veulent aucune mesure, mais je me souviens qu'avant, (du temps de mes parents), on payait pour toute la famille une taxe sur les vélos, une taxe pour les chiens, déjà un impôt de crise, la TVA était de 6, 18, 25 % et même une taxe de luxe sur certains produits de 8 % supplémentaire, nous étions 5 à la maison et seul mon père travaillait mais jamais je ne l'ai entendu se plaindre, et pourtant ce n'était pas facile tous les jours.

Si maintenant c'est encore plus difficile, c'est que les gens ne se contentent plus par exemple d'une télévision normale, mais il faut le grand écran dernier cri, les gsm dernière technologie, ne faudrait-il pas mieux remettre le pays sur les rails, et se priver d'un certain luxe qui n'est parfois pas nécessaire. J'ai moi même perdu mon emploi, je cherche du travail, sans trop de succès, mais je ne perds pas espoir. Je me passe simplement du superflu et je ne suis pas malheureuse pour ça."

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