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Dans une lettre ouverte publiée dans Paris Match, il rend hommage au courage de la chanteuse face à la maladie de son mari.
Michel Drucker est un grand ami de Céline Dion et son mari, René Angelil. Lorsque ce dernier est tombé malade, son épouse a tout arrêté pour s'occuper de lui. Elle a laissé tomber sa résidence à Las Vegas pour le soutenir dans un combat contre le cancer de la gorge. Aujourd'hui, alors que le couple ne sait pas pour combien de temps René en a encore, la chanteuse vient de reprendre ses concerts au Caesar Palace, poussé par René.
Face au courage de son amie, le présentateur Michel Drucker a tenu à lui rendre hommage. Il a donc écrit à Céline une lettre très touchante qui a été publiée par Paris Match. "Il y a des êtres qui, dès l’enfance, sont faits pour se battre et gagner. Céline est de ceux-là", écrit-il dans le magazine. Il s'est souvenu du chemin qu'elle a parcouru, notamment depuis leur première rencontre sur le plateau de l'émission Champs Élysée, alors que Céline Dion n'avait que 15 ans. "Depuis, son parcours a été jalonné de triomphes planétaires, mais aussi de douleurs, de chagrins qu’elle a toujours enfouis au fond d’elle-même, raconte-t-il. Ne rien montrer en public qui puisse trahir un doute, une faiblesse, une méforme".
"Jamais je ne l’ai vue flancher"
Puis il en vient à parler de la maladie de René Angelil et du soutien indéfectible de sa femme : "La très grave maladie de son mari l’accompagne depuis très longtemps. Pendant toutes ces années d’angoisse, Céline a continué à chanter, toujours et encore. Jamais je ne l’ai vue flancher, ne pas sourire à ses fans", témoigne-t-il encore pour saluer son courage.
Enfin, il confirme que si aujourd'hui Céline Dion remonte sur scène, c'est parce que c'est le souhait le plus cher de René : "Elle a serré les dents une fois encore; elle est remontée sur scène, elle a chanté avant tout pour René. Si son mari, l’homme le plus important de sa vie, continue à se battre contre la maladie, c’est pour la voir chanter. Car, quand Céline chante, il ne souffre plus", dit-il enfin.
