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Dans les coulisses d'une salle légendaire: découvrez Forest National comme vous ne l'avez jamais vue

Derrière la scène de Forest National, chaque artiste qui s'y produit laisse sa signature sur un mur, créant ainsi un véritable musée des souvenirs artistiques.

La tradition remonte aux débuts de la salle, avec Maurice Béjart et le ballet du XXe siècle, qui a fait l'ouverture de Forest National, signant en premier, et se perpétue aujourd'hui. Les patineurs de  "Disney on Ice" sont les derniers à avoir signé le mur.

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Coralie Bereal, la patronne de Forest National depuis plus de 15 ans, révèle que certaines signatures sont devenues des œuvres d'art à part entière. Elle explique : "C'est souvent un membre du staff qui fait une petite œuvre d'art. De plus en plus, que les années ont défilé, ce sont devenus vraiment des œuvres d'art. Et après, à la fin, quand c'est fait, l'artiste vient signer le tag dans un petit coin".

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Il faut savoir qu'au fur et à mesure, certaines disparaissent parce que les artistes se taguent les uns au-dessus des autres. Du coup certaines signatures emblématiques, comme celle de Johnny, sont particulièrement chéries et protégées, suscitant un intérêt particulier de la part des visiteurs et des artistes eux-mêmes. "Il en reste une qui est assez anecdotique et qu'on essaye de protéger par tous les moyens, parce que c'est la dernière", réagit Coralie concernant la signature du chanteur. 

Le chanteur Pascal Obispo est assez fier de sa signature, "il va à chaque fois voir si elle est encore là", confie la patronne.

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Le bar des Belges

Le bar des Belges, nouvellement aménagé, permet aux spectateurs de découvrir les signatures des artistes belges tels qu'Angèle, Lost Frequencies et Mister Cover, rendant ainsi ces coulisses plus accessibles au public. "Il y a quelques années, on a vidé tous les sous-gradins et on en a fait un bar. Et là, on a réservé justement pour les artistes belges (...). On a donné accès aux visiteurs et aux spectateurs de voir aussi quelques tags de leur côté. Et donc, ça devient vraiment un musée", confie Coralie Bereal.

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