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Que s’est-il passé il y a trois ans lors de la célèbre dispute de l’ascenseur entre Jay-Z et Solange, la petite sœur de Beyoncé ? Lors d’une interview, le rappeur est revenu sur cet événement.
Il y a trois ans, dans la nuit du 5 au 6 mai 2017, alors qu’ils venaient d’assister au gala du Met, le rappeur Jay-Z et sa belle-sœur, la chanteuse Solange, se sont violemment disputés. Ils se trouvaient tous deux en compagnie de Beyoncé dans l’ascenseur du Standard Hôtel, où avait lieu l’after party du gala, quand la bagarre a éclaté.
Queen B n'était pas intervenue
La sœur de Beyoncé a été violente physiquement et verbalement avec Jay-Z. La dispute a duré plus de trois minutes et, présente entre les deux pendant tout ce temps, Queen B n’a pas bronché, n’intervenant ni pour sa sœur, ni pour son mari. A l’époque, l’histoire avait fait grand bruit, car le site d’actualité people TMZ s’était procuré les images des caméras de vidéosurveillance de l’ascenseur et les avait publiées.
"C'est ma sœur, pas ma belle-sœur, ma sœur"
Aujourd’hui, dans une interview accordée à Rap Radar, le rappeur revient sur ce Solangegate. "Je me suis battu et disputé avec mes frères toute ma vie. Cela arrive, mais ce n'est rien", commence-t-il, avant de préciser à propos de Solange. "Nous n'avons eu qu'un seul différend depuis toujours. Avant et après nous avons été cool. Elle est comme ma sœur. Je la protégerai." "C'est ma sœur, pas ma belle-sœur, ma sœur".
Pas de grandes révélations, donc, et on ne sait toujours pas quel était le sujet de la dispute et ce qu’ils se sont hurlé durant celle-ci.
Le communiqué de 2014
En 2014, peu de temps après l’événement, le couple formé par Jay-z et Beyoncé avait déjà publié un communiqué. "La publication de la vidéo de caméra-surveillance de l'ascenseur, du lundi 5 mai, a engendré énormément de spéculations sur l'origine du malheureux incident. Mais la chose la plus importante est que notre famille l'a résolu. Jay et Solange assument leurs parts de responsabilité pour ce qui s'est passé. Ils ont tous les deux reconnu leurs rôles dans ce problème d'ordre privé, rendu public. Ils se sont réciproquement excusés et nous sommes allés de l'avant, en famille unie", pouvait-on lire à l’époque.
