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Michaël Miraglia chute violemment et se blesse lors de la pièce du Télévie: "Le choc a été terrible"

L'animateur nous a raconté ce qui s'est passé mardi soir au Théâtre Royal de Mons.

En pleine représentation de la pièce du Télévie, Hier est un autre jour, mardi soir au Théâtre Royal de Mons, Michaël Miraglia a lourdement chuté. "Il y a une scène où Luc Gilson, très énervé, me pousse dans les coulisses... on l’a joué et répété des dizaines de fois, raconte le journaliste. Mardi, j’ai perdu équilibre, je n’ai pas pu me rattraper et je me suis tapé la tête sur une console en coulisses".

Michaël a tout de suite pensé qu'il était sévèrement blessé : "Le choc a été terrible. Le craquement m’a fait penser que ma colonne vertébrale était brisée en deux...", ajoute-t-il.

"Sur scène dans une minute 30"

Tandis que la pièce se poursuivait sans que personne ne se rende compte de rien, une régisseuse du théâtre est venue en aide à Michaël et a voulu appeler l'ambulance. "Non, je dois remonter sur scène dans 1 minute 30", a-t-il répondu.

Elle a essuyé le sang qu'il avait sur le front et le comédien est remonté sur scène malgré tout, non sans difficultés. "J’avais la tête qui tourne, la nausée... J'ai passé 3 minutes interminables, me répétant de ne surtout pas tomber dans les pommes", explique-t-il encore.

Heureusement, les pompiers étaient présents dans la salle en raison d'un malaise d'une personne dans le public. Ils ont dont pu examiner Michaël Miraglia et la représentation a pu se poursuivre.

Bilan: contusion aux cervicales et une côte froissée

"J’avais mal à la nuque, à la côte, au genou... mais personne dans la salle ne s’est rendu compte de quoi que ce soit", explique encore le journaliste qui s'est quand même rendu aux urgences après la représentation. Verdict: "Pas de casse au niveau du dos, juste une contusion aux cervicales, et une côte froissée", rassure le présentateur de Reporters qui est remonté sur la scène du Théâtre de Mons, avec des antidouleurs pour assurer, pour la bonne cause...

"Pour l’anecdote, explique-t-il enfin, j’avais une appréhension terrible de cette scène où Luc me pousse, mais il l’a fait tout en douceur, et il a même esquissé un petit sourire à ce moment-là. Tout est bien qui finit bien."

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