Accueil Actu

Quoi de neuf chez nos Cobourg ?

Ma saga des Cobourg

Il se passe toujours quelque chose chez nos royaux !

Qu’il s’agisse du roi Léopold Ier des Belges, de la reine Victoria d’Angleterre ou du tsar Boris des Bulgares ; tous descendent de la même lignée : les Saxe-Cobourg ! Au fil du temps ils ont essaimé d’innombrables unions dynastiques du duché de Cobourg à la Bulgarie en passant par le Portugal et sont, aujourd’hui, encore installés sur leur trône au Royaume-Uni (Elizabeth II) et en Belgique (Philippe). Ils sont, après les Habsbourg, les Romanov et les Bourbon, la dernière famille royale à avoir façonné le visage de l’Europe monarchique.

Depuis la fin du dix-neuvième siècle les Saxe-Cobourg ont incarné le renouveau de la monarchie dans un siècle de révolutions. Mariages, trahisons, héritages et coups de génie, dans mon dernier livre (La Saga des Cobourg chez Perrin), je raconte l’histoire de ces personnages contrastés et brillants et je tente un nouveau regard sur l'Europe dynastique. En Belgique, les Cobourg ont changé de nom et s’appellent désormais ‘de Belgique’. Je fais le point sur leurs dernières aventures... et mésaventures.


 
La statue de la princesse Elisabeth

Même Mathilde n’était pas au courant !

Grosse surprise au palais royal en apprenant que l’artiste Jan Fabre avait réalisé une statue en marbre de la princesse Elisabeth. Intitulée " My Future Queen ", l’œuvre rend hommage à la duchesse de Brabant qui fêté ses quinze ans cette année.

"Elle sera plus tard reine de Belgique et c’est le pouvoir féminin. Je pense que le monde se porterait mieux s’il était dirigé par des femmes"... c’est ce que l’artiste a déclaré au Morgen. Si elle est encore peu présente sur la scène officielle, la jeune fille a déjà eu l’occasion de prendre la parole à plusieurs reprises sur la scène officielle. Le roi et la reine ont à cœur de la former à son futur métier tout en évitant de la surexposer. L’histoire ne dit pas (encore) sir le roi et la reine apprécient l’œuvre de Jan Fabre exposée à l’Ermitage.


La rencontre du prince Laurent

Faut-il punir le prince ?

Charles Michel a choisi de réprimander (doucement) le prince Laurent pour avoir rencontré sans autorisation le premier ministre du Sri Lanka. Ce n’est pas la première fois que le frère cadet du roi transgresse les règles élémentaires de la diplomatie de la politique étrangère.

Une fois de plus, Laurent a mis en avant son engagement écologique pour justifier son comportement. Mais cela ne suffit pas à excuser publiquement l’attitude d’un prince qui, en contrepartie de sa dotation, doit respecter certaines règles. Personne n’a oublié le voyage en République Démocratique du Congo ou encore ses rencontres lybiennes... Une chose est sûre, une loi a été votée pour éviter que les princes de la maison royale prennent ce genre de liberté. Au prochain accroc, Laurent risque bien d’encourir les foudres du gouvernement qui s’en tient pour le moment à une mise en garde formelle. Bien sûr, la N-VA (et ses ex-membres) sont trop heureux de souffler sur les braises. De son côté, le palais s’est bien gardé de commenter cette affaire.

 

La copine de la reine Mathilde

Les deux M... comme meilleurs amies ?

A l’occasion de la visite d’état aux Pays-Bas, Mathilde et Maximà ont, une fois de plus, révélé la parfaite entente qui règne entre elles. Les deux épouses royales ont fait assaut d’élégance, de sourires et de petits gestes complices tout au long de la visite.

A l’occasion de l’inauguration de la gare d’Utrecht, elles sont allées, jusqu’à adopter un look assez semblable. Deux tenues en forme de clin d’œil au dix-neuvième siècle quand les chemins de fer étaient au cœur de la technologie moderne. On a même eu l’impression de se retrouver dans un roman de Jules Verne, entre modernité vintage et classicisme chic.


 
Philippe a la cool attitude

Qui a dit que notre roi était stressé ?

En visite aux Pays-Bas, le roi Philippe a passé un test de stress auquel il ne s’attendait pas. Il a discuté avec de jeunes chercheurs et a notamment essayé un bracelet détecteur de stress. Etrangement, ce roi qu’on nous présente souvent comme un souverain nerveux s’est révélé très placide et plutôt serein.

La vérité est que le roi Philippe est parfaitement capable de conserver son self-control quand il se sent en confiance. Ce fut le cas tout au long de la visite aux Pays-Bas qui prenait l’apparence d’une visite de famille, beaucoup plus cool qu’un voyage d’état traditionnel.

 

Mathilde ne laisse jamais rien au hasard

Choisir un look, c’est aussi de la politique !

Quand la reine prépare ses sorties, elle ne laisse rien au hasard. C’est même l’une des caractéristiques de Mathilde de vouloir tout contrôler... dans tous les cas de figure. Dès lors, quand elle se rend à l’inauguration d’une salle de spectacle à Anvers, elle opte bien sûr pour une tenue signée Dries Van Noten.

Chacun sait que le célèbre styliste est non seulement d’origine anversoise, il est aussi l’un des plus grands symboles de la créativité de la métropole flamande. Par petites touches impressionnistes, la reine réussit souvent à faire passer des messages, plus clairs qu’un long discours. Au siècle de l’image et de la communication, le choix d’une tenue peut faire passer des messages. Et Mathilde est une devenue une pro de cette discipline !

Par Patrick Weber Chroniqueur royal RTL


Retrouvez-moi tous les soirs dans " On refait le monde " sur Bel RTL à 18 heures et dans " Quelle Histoire ! " le weekend sur Bel RTL.

À la une

Sélectionné pour vous