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Le marathon de Londres a lieu ce week-end au Royaume-Uni. L'occasion pour les fils du prince Charles, William et Harry et de Catherine, de faire connaître une association qui les tient à coeur: "Heads Together". En effet des centaines de coureurs vont parcourir les 42 km avec un bandeau mentionnant cette oeuvre de charité. "Heads Together" vient en aide aux personnes rencontrant des difficultés dans leur vie et qui pourraient y trouver du réconfort en discutant avec des professionnels.
A l'entame de ce week-end de festivités, le compte twitter officiel du Palais de Kensington a tweeté ce vendredi une vidéo assez étonnante. On y voit, le prince Harry, discuter avec son frère et sa belle-soeur dans les jardins de Kensington, simplement attablés à une table en bois. Les trois jeunes gens, vêtus de manière casual, échangent sur l'importance de pouvoir se confier à quelqu'un lorsqu'ils ont rencontré des bouleversements dans leur vie.
Alors que la duchesse de Cambridge évoque les premiers jours difficiles après la naissance du prince George, William et Harry évoquent la perte de leur maman, la princesse Diana.
Cette vidéo d'une durée de plus de 6 minutes est une démarche très originale. Au début du clip, le prince Harry demande pourquoi cette association mise sur pied s'appelle "Heads Together" et regarde en direction de sa belle-soeur en lui disant que c'était son idée. La jeune femme prend alors la parole et évoque les secteurs des oeuvres de charité de chacun en soulignant que l'un des points communs de toutes ces associations, c'est que les personnes ayant recours à leurs différentes oeuvres sont vulnérables, et que leur santé mentale pourrait être à un moment menacée. Et que parfois lorsque quelqu'un a un problème de ce genre, il y a plus de solutions dans deux têtes, que dans une."Demander de l'aide est donc tout à fait normal", souligne la duchesse Catherine.
Kate, William et Harry évoquent alors brièvement à coeur ouvert des moments particulièrement difficiles de leur vie. Ils semblent très concernés par les problèmes des uns et des autres. Cette conversation semble assez naturelle. C'est une première dans l'histoire de la communication du Palais de Kensington.
