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Voici les dix nouveaux candidats de l'Amour est dans le pré (vidéos)

Chaque année vous êtes de milliers à vibrer avec eux au gré des épisodes de l'Amour est dans le pré et des rencontres romantiques des agriculteurs. Et si cette année, vous faisiez partie des prétendant(e)s? Voici les dix agriculteurs en quête d'amour qui pourraient vous plaire.

Dans quelques mois, vous pourrez à nouveau suivre les aventures amoureuses des agriculteurs de l’Amour est dans le pré. Mais avant cela, il faut les présenter afin que leur profil soit repéré par les candidates ou candidats à l’amour.


Joffrey, l'éleveur de chèvres généreux et câlin

Joffrey, 25 ans, habite près de Soignies, en province de Hainaut. Il a racheté l’exploitation familiale il y a deux ans et a pris un tournant à 180% en remplaçant le troupeau de blanc-bleu par un troupeau de 400 chèvres. Joffrey et les chèvres, c’est une passion depuis toujours. "Le contact entre l’homme et l’animal n’est pas le même, tu ressens une attention qu’une vache n’a pas", explique-t-il. "On aime notre boulot. Donc quand on se lève le matin, ce n’est pas à contrecœur, on ne tire pas la tête. Maintenant bien sûr on a nos difficultés, on a nos coups de blues, mais ça va", ajoute le jeune éleveur.

Il aimerait trouver quelqu’un qui puisse le suivre à la ferme et qui aime les animaux. "Quelqu’un qui comprend un peu les heures. Quelqu’un qui, quand je rentre, m’attend au coin du feu avec un bon petit plat, ça c’est mon petit péché mignon", décrit-il. "Mon plus grand plaisir serait de voir grandir mes enfants à la ferme, c’est logique. Les voir jouer, venir me taquiner au travail, me demander pourquoi ci, pourquoi ça".

Joffrey se décrit comme généreux, parfois même de trop, et câlin. "Je m’attache très vite. Ce que je recherche comme fille, c’est une fille simple avec qui je peux rigoler, avoir un peu de complicité. Qu’on puisse tout se dire, s’engueuler et puis 5 minutes après se redire ‘Je t’aime'". Et le jeune homme n’est autre que le cousin de Christophe, qui a participé à l’Amour est dans le pré la saison dernière.



Chris, le voyageur en manque de tendresse

Chris habite dans le Condroz namurois près de Ohey. A 47 ans, il voudrait retrouver les joies d’une vie à deux. "Je suis quelqu’un de dynamique, je ne vais pas me coucher sur le sofa devant la TV, le match de foot, c’est pas pour moi, je trouverai bien autre chose à faire à ce moment-là", se décrit-il. Et Chris est un voyageur puisqu’avant de reprendre l’exploitation où il engraisse chaque année 350 taureaux et 6.000 cochons, il a vécu 4 ans et demi au Texas, aux Etats-Unis, où il a travaillé dans des fermes laitières.

"J’ai plus de chaleur maintenant à être dans mes étables avec les bêtes qu’à la maison. A la maison on allume la TV, mais on est quand même tout seul. On est assis tout seul, on est couché tout seul, on peut parler à la TV, elle ne répond pas. Une femme c’est ce qui me manque le plus ici dans la ferme." Chris aimerait rencontrer une femme qui n’est pas trop nerveuse, plutôt posée. "La tendresse, l’amour, c’est quelque chose qui me manque, c’est un vide".



Jérémy, l'éleveur généreux et sincère

Jérémy, 38 ans, a construit sa ferme près de Hotton, en province de Luxembourg. Il y élève 170 génisses et taureaux. C’est un homme qui aime sortir, voir du monde et quand il a emménagé dans sa nouvelle maison, il s’y est senti bien seul. "Quand je rentrais et que je mangeais tout seul, j’avais presque envie de pleurer. Ça faisait vraiment drôle. Plus les années passent et plus ça me pèse quand même de ne pas avoir d’enfant, quand je vois les autres qui sont mariés et qui ont des enfants. J’aime bien sortir de ma ferme, il n’y a pas que ma ferme qui compte", explique sans complexe l’agriculteur de Hotton.

Jérémy aimerait trouver la femme de sa vie et ne voir plus qu’elle, celle qui lui donnerait envie de ne plus regarder les autres. Il se voit avec une femme assez simple, naturelle. Généreux et sincère, il rêve d’à nouveau croquer la vie à deux.



Maxim, l'éleveur de chevaux fidèle et passionné

Maxim, 26 ans, gère un manège au sud de Bruxelles. Le jeune homme se décrit comme un bon vivant qui aime voyager, sortir, manger et se poser en terrasse. "En amitié, tout comme en amour d’ailleurs, ce qui est très important c’est la fidélité, l’exclusivité et la loyauté", explique-t-il. Sa meilleure amie le décrit comme généreux, gentil et très attentif. "Quand je suis en amour, je donne tout, je ne compte pas, je ne regarde pas ni en temps. C’est l’autre et c’est ma priorité absolue", confie Maxim.

Le jeune homme est célibataire depuis trois ans. Il a vécu une belle, mais trop courte, histoire dont il a eu beaucoup de mal à se remettre. Maxim n’a pas de type d’homme, de critère défini, pour lui, c’est une question de feeling. Quand il aime, il est passionné et ça lui a malheureusement déjà joué des tours. "J’ai déjà plusieurs fois traversé la moitié de l’Europe, si pas l’Europe entière, pour aller voir la personne que j’aimais pendant 15 heures. Ça m’a joué quelques vilains tours", raconte-t-il. Fidèle, entier et passionné, Maxim est un épicurien. Il sait travailler, mais aussi prendre du bon temps.



Luc, l'Ardennais au coeur tendre, entier et discret

Luc, 47 ans, s’occupe à Bertrix, en province de Luxembourg, d’une exploitation mixte de 800 têtes en association avec son frère. "Je me suis investi énormément dans l’élevage et maintenant je pense qu’il est temps que je passe à autre chose et que je laisse un petit peu mes vaches de côtés et que je pense un peu à moi", confie-t-il.

Luc est fier de son exploitation, de ce qu’il a créé avec son frère. Ses années de travail ont d’ailleurs fini pas être récompensées puisque plusieurs de ses bêtes ont été primées dans des concours. "Je suis un homme heureux, mais je serais avec une femme, je serais peut-être encore plus heureux", commente-t-il. Luc ne voudrait pas d’une femme qui l’oblige à rentrer tous les soirs à 19h30. Il croit au coup de foudre et espère que ça pourra encore lui arriver. Il a le contact facile, de l’humour, aime taquiner. "Quand je fais quelque chose, je le fais à fond, jusqu’au bout. Si je donne, je donne. Une belle histoire d’amour, ce serait quelqu’un qui me comprenne, qui me supporte aussi quand je vais rentrer tard, qui m’écoute, dès qu’on a des problèmes qui puisse m’écouter et peut-être les résoudre avec moi", décrit l’Ardennais au cœur tendre, entier, fidèle, réservé, discret, qui a le sens des valeurs et sur qui on peut compter. Il rêve d’une belle histoire d’amour faite de complicité et de projets à partager.



Jérémy, le bricoleur dou et sincère

Jérémy, 30 ans, a une exploitation à Brugelette, en province de Hainaut. Il vit actuellement chez ses grands-parents en attendant qu’on lui délivre un permis d’urbanisme pour commencer les travaux de sa maison. "D’ici là j’aurai peut-être trouvé quelqu’un pour la décoration, la peinture, quelques idées en plus à l’intérieur ou extérieur de la maison", espère le jeune homme.

Il cultive une cinquantaine d’hectares et s’occupe d’environ 80 têtes de bétail. C’est aussi un bricoleur qui aime créer de nouvelles choses dès qu’il a un peu de temps, comme le buggy avec lequel il participe à des courses. Le jeune homme aimerait rencontrer la bonne personne et pourquoi pas fonder une famille. "Je n’ai pas forcément de style, qu’elle soit petit, grande, blonde, brune, c’est plus après en la connaissant à l’intérieur, le caractère, voir un petit peu comment elle réagit aussi, parce qu’il y a beaucoup de filles quand je leur dis que je suis agriculteur, on sent qu’elles reculent un petit peu, qu’elles sont méfiantes", explique-t-il.

Jérémy veut prendre son temps pour ne pas être déçu. "Je préfère ne pas avancer trop vite en histoire d’amour, prendre le temps qu’il faut, bien découvrir la personne avant de vraiment lancer quelque chose de sincère et véritable. J’aimerais bien d’abord trouver la personne pour avoir la relève qui suit aussi par après", confie-t-il encore.

Le jeune homme se décrit comme quelqu’un d’assez cool qui ne se prend pas la tête et qui vit au jour le jour. Dou et sincère, c’est un homme sur qui on peut compter.



Vincent, le grand garçon attentionné et timide

Vincent, 37 ans, vit à Erezée, Famenne luxembourgeoise. Il partage son temps entre un boulot à l’extérieur et son exploitation. Il tient sa passion de ses grands-parents et il a investi petit à petit dans son cheptel qui compte maintenant plus de 80 têtes. Ce grand garçon, comme le décrit sa maman, est attentionné et aime faire des cadeaux. "J’aime être dans la nature, avec mes bêtes, dans les machines, ça c’est mon dada, donc si la personne pouvait même venir avec moi dans les machines de temps en temps, ça me ferait vraiment bien plaisir", reconnaît-il.

Il espère devenir papa et se verrait bien avoir deux enfants. "Le bonheur pour moi serait d’avoir une femme qui aimerait avoir des enfants et faire sa vie avec moi. C’est tout ce que je peux dire sur le bonheur", explique ce timide devant les femmes. Pour Vincent, le physique n’est pas important, ce qui compte le plus, c’est qu’une femme soit honnête et qu’ils puissent tout se dire. Il est prêt à s’investir à 200% dans sa vie de couple et n’attend qu’une chose, celle qui l’aimera d’un amour partagé pour une vie de bonheur sans nuage.



Michel, le papa au bon caractère qui veut recréér une famille

Sur les hauteurs de la Meuse namuroise vivent Michel et ses quatre enfants. Ce cultivateur de 46 ans est divorcé. Il a repris avec ses frères l’exploitation de leur père lorsque ce dernier a pris sa retraite. Il s’occupe aussi d’un gîte à côté de la ferme. Selon l’un des frères de Michel, c’est un grand timide qui n’ose pas déclarer sa flamme, mais qui a bon caractère. "Je suis un homme très constant dans mes sentiments, quand j’ai un but à atteindre, je suis prêt à faire beaucoup de sacrifices. Je suis toujours de bonne humeur, c’est important", ajoute Michel.

Michel s’occupe de ses enfants une semaine sur deux et ceux-ci espèrent qu'il trouvera bientôt l’amour. Le visage de ce papa s’illumine d'ailleurs lorsqu’il est avec ses enfants. "J’essaie d’être un papa bien présent, pas chiant, mais ça je crois qu’ils ne me voient pas comme ça", plaisante-t-il.

Le cultivateur voudrait que sa future compagne ait les mêmes qualités que ce qui est important pour lui : la constance dans les sentiments et la persévérance, qu’elle aime son métier, qu’elle aime ses enfants, qu’elle aime aller en vacances, qu'elle aime sa vie. "Pour être tout à fait heureux, je trouve que ce qu’il manque ce serait d’avoir une femme qui serait heureuse et qui aurait certainement des enfants aussi. La famille c’est super important, c’est ce qu’il y a de plus important", insiste Michel.



Florian, le mécanicien agricole timide, débrouollard et sportif

Florian, 28 ans, vit à Wellin, en province de Luxembourg et est mécanicien agricole. "Je suis une personne calme, douce, attentionnée, gentille qui bouge beaucoup", se décrit-il. Il voudrait bientôt reprendre la ferme de son père, mais avoue que pour lui, il n’y a pas que le boulot dans la vie. "J’aimerais avoir des enfants, puis j’ai envie de leur transmettre plein de choses comme mon métier d’agriculteur et de mécanicien", explique le jeune homme.

Il y a quelques années, il a acheté une petite maison qu’il a lui-même rénovée juste devant la ferme familiale. Pour son meilleur ami, si Florian est toujours célibataire, c’est parce qu’il n’a pas encore rencontré la bonne personne. "Il est un peu timide. Il aimerait bien trouver mais il ne trouve pas. Il est tout le temps souriant, il sort pour rencontrer des gens, mais il ne trouve pas parce qu’il ne va pas vraiment vers les filles. Mais s'il attend qu’elle arrive, il sera encore célibataire à 40 ans", plaisante-t-il. Florian n’est donc pas un grand séducteur, mais il pense qu’une fille pourrait l’aider à devenir moins timide.

Le jeune homme ne cherche pas une femme pour qu’elle fasse tout à la maison, il veut aussi mettre la main à la pâte en ce qui concerne la vie domestique. "Je m’imagine faire la nourriture, mettre la table, regarder la télé à deux, la prendre dans mes bras pour l’endormir, pour la câliner", indique-t-il. Débrouillard et sportif, Florian espère recevoir de nombreuses lettres.



Eugène, le bientôt retraité qui veut fonder une famille

Eugène à 63 ans et vit à Braine-l’Alleud. Il travaille depuis qu’il a 15 ans à la ferme. Il a beaucoup travaillé étant jeune et pense maintenant à la retraite, il a d’ailleurs déjà bien levé le pied. Il y a une vingtaine d’années sa ferme a brûlé et il a commencé à travailler pour Gilberte et son mari en dépannage et a fini par s’installer avec eux. Depuis le décès du mari de Gilberte, c’est lui qui veille sur elle. La dernière histoire sérieuse d’Eugène remonte à près de 50 ans. Il était jeune et amoureuse, la jeune fille aussi, mais les parents n’étaient pas d’accord. 

A 63 ans, Eugène rêve toujours d’avoir des enfants, c’est même son vœu le plus cher. Il cherche donc quelqu’un avec qui fonder une famille. "Je ne vois pas pourquoi je devrais finir mes jours seul. Après moi, celle qui restera, qu’elle vive bien et qu’elle en profite bien", affirme-t-il. Pour lui, peu importe d’ailleurs qu’il reçoive beaucoup de lettres, la seul chose qui le préoccupe est de recevoir la bonne. Enjoué et solide, Eugène a décidé de profiter de la vie et voudrait partager son bonheur avec celle qu’il aime.


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