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Sandrine Corman et 3 icônes du monde de la danse, Mia Frye, David Carreira et Stéphane Jarny, se lancent à la recherche des meilleurs danseurs. Quel que soit leur âge, leur style de danse et leur composition, qu'ils dansent seuls, en duo ou en groupe, la compétition est ouverte à tous les danseurs. Cette semaine, trois candidats se sont qualifiés pour la finale.
Le trio de popping MDT a fait sensation sur le plateau de la demi-finale de Got To Dance cette semaine. Leur technique avait de quoi surprendre : les trois jeunes hommes dansent comme des robots, avec des gestes d'automates et le visage figé. Les membres du jury ont à nouveau été surpris.
À commencer par Mia Frye: "Là, c'est une tuerie, franchement... Haut niveau, grand respect!", leur a-t-elle lâché alors que les trois danseurs restaient dans leur personnage : muets et figés. "À chaque fois, vous nous étonnez, vous allez plus loin, vous cherchez, vous travaillez. Moi je vous dis 'bravo', merci beaucoup", a-t-elle ajouté.
Stéphane Jarny a quant à lui souligné la progression du trio MDT: "J'avais déjà été impressionné lors du passage pendant les auditions. Je m'étais dit :'Comment ils vont se renouveller? Comment ils vont nous surprendre? Est-ce qu'ils vont quitter leur personnage ou le conserver et y aller encore plus fort?' Ce soir c'est limite si j'ai pas préféré, c'est un truc de fou, c'est-à-dire que vous avez mis la barre encore plus haut. Félicitations", leur a-t-il dit.
Enfin, David Carreira, leur coach, a eu beaucoup de mal à se remettre du show auquel il a assisté : "Moi j'ai vu des étoiles aujourd'hui les gars. Cet après-midi on a parlé un petit peu et ils sont cool aussi. Et ils sont bizarres (...) Je pense que vous avez écouté les conseils de l'audition et je ne sais pas comment je vais faire pour choisir ce soir", a-t-il expliqué.
Au moment de prendre sa décision; après avoir souligné le choix difficile qu'il avait à faire, David a décidé d'emmener les MDT en finale. Ceux-ci n'ont pas lâché leur personnage et ont remercié le jury et le public d'un sourire tout en restant les automates qu'ils incarnent.
