Capucine Anav en larmes et Matthieu Delormeau FURIEUX contre Nabilla: "Cette fille ne sait pas s’exprimer autrement qu’avec des insultes ou un couteau"

Vendredi, Capucine Anav avait avoué avoir peur de voir son amie Nabilla lui faire de l'ombre si elle revenait dans Touche pas à mon Poste. "J'ai surtout peur qu'elle prenne ma place. Je ne vais pas le cacher, je suis jalouse. Je l'aime beaucoup. Elle peut revenir si elle ne pique pas ma place", avait-elle lancé. Et Nabilla lui avait répondu par un tweet d'une grande vulgarité: "Miskina, je ne pren­drais pas ta place, on joue pas dans la même cour #suce­sarko".

Visiblement, elle n'a pas bien compris qu'il n'y avait aucune intention méchante derrière les propos de la chroniqueuse. "Jalouse n’a aucune conno­­ta­­tion néga­­tive pour celui ou celle qui se donne la peine de vouloir comprendre", a-t-elle notamment expliqué sur Twitter.


"Une extrême vulgarité"

Mais ce lundi dans TPMP, Mathieu Delormeau en a remis une belle couche. "La vraie Nabilla, c’est dans les tweets qu’on voit qui est cette jeune fille. Ce n’est jamais autour de la table où elle est là à minau­der. Ses tweets sont toujours d’une extrême vulga­rité", a-t-il estimé.

Cyril Hanouna a tenté de prendre la défense de l'ex-star de la télé-réalité mais le chroniqueur, très énervé, a alors lancé: "Cette fille ne sait pas s’ex­pri­mer autre­ment qu’a­vec des insultes ou un couteau!"

Alors que les larmes commençaient à couler sur les joues de Capucine Anav, très touchée, il a ajouté: "À un moment, il faut quand même dire les choses, c’est d’une gros­siè­reté! À un moment, il faut qu’elle redes­cende... La vraie Nabilla, elle est là!" 


"C'est une personne instable"

Les chroniqueurs étaient très divisés sur le sujet, et Jean-Michel Maire, Géraldine Maillet, Isabelle Morini-Bosc, Valérie Benaïm, Gilles Verdez et Jean-Luc Lemoine se sont mêlés au débat très houleux sur le plateau de TPMP.

Capucine Anav a eu le mot de la fin, expliquant qu'elle avait essayé d'arranger les choses avec Nabilla en privé via WhatsApp, mais sans succès. "Je ne lui en veux pas. Tout le monde sait que c’est une personne instable. L’ins­ta­bi­lité psycho­lo­gique, c’est une mala­die. J’es­père  du fond du cœur qu’elle va se soigner parce que je l’aime beau­coup", a conclu la chroniqueuse.