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Patrick Sébastien explique sa "petite pipe": "La seule chose qu'on peut me reprocher, c'est de faire l'apologie du tabac" (vidéos)

Samedi soir, le chanteur et animateur dévoilait son nouveau titre qui fait débat. Il a réagi sur le plateau de Cyril Hanouna.

Dans son émission, Nos années bonheur, sur France 2, Patrick Sébastien a dévoilé son nouveau titre samedi soir: Une petite pipe. Celui-ci n'a pas vraiment plu à certains téléspectateurs qui ont dénoncé, via les réseaux sociaux, la vulgarité de la chanson.

Lundi soir, dans Touche pas à mon Poste, il s'est expliqué. "Je me marre depuis le début de la journée. Je suis dans un monde de fou", a-t-il d'abord lâché avant d'expliquer qu'on lui reproche ce qu'on n'a pas reproché à d'autres : "On a fait ce qu'a fait Gainsbourg avec 'Les sucettes à l'anis' ou Lio avec 'Banana Split'. Il n'y a pas un seul gros mot, il n'y pas une seule vulgarité, y'a rien du tout."

Le chanteur et animateur va plus loin en disant comment on peut l'expliquer aux enfants : "J'entends les gens qui disent 'mais comment on explique ça à nos mômes?'. Moi j'ai une petite de 7 ans et demi, et c'est facile à expliquer. Soit la gamine elle comprend le double sens et puis y'a rien à expliquer, soit elle ne comprend pas et comme j'ai dit à la mienne, c'est une cigarette", a-t-il encore déclaré.

Patrick Sébastien assume complètement le risque qu'il prend avec cette explication: "Le seul truc qu'on peut me reprocher, et ça je l'accepte, c'est de faire l'apologie du tabac", a-t-il reconnu. Sur ces propos, le chroniqueur Thierry Moreau lui a quand même précisé que dans ce cas, il pouvait "tomber sous le coup de la loi".

Patrick Sébastien a également réagi à la condamnation de la secrétaire d’État française à la famille qui a déclaré lundi matin sur RTL. Il lui a reproché de ne pas avoir compris sa démarche : "Il faut qu'elle retourne à l'école, qu'elle achète un dictionnaire", a-t-il lancé avant d'expliquer qu'il était lui aussi choqué par ses propos : "Parler de pédophilie et d'inceste, je peux l'attaquer en diffamation parce que c'est vraiment grave. Surtout, la ministre est mal tombée, car moi depuis trois ans je suis parrain d'une association qui s'appelle 'Enfance et Partage'". Et toc...

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