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La presse internationale remet la Belgique dans le groupe des favoris: "Ils ont un potentiel offensif qui fait peur"

Eden Hazard a séduit tout le monde contre la Hongrie, dimanche. Si la presse belge se montre enthousiaste, la presse internationale a cette fois été plus tendre avec les Diables Rouges que lors des matchs précédents. Et surtout avec notre capitaine...

"Souvent discuté en sélection, Eden Hazard a (enfin) réalisé un numéro à la hauteur de son (énorme) potentiel. Un véritable festival d’accélérations, de débordements, d’ouvertures ciselées, mais aussi de replis défensifs consciencieux", peut-on lire dans l'Equipe. Le quotidien sportif ajoute: "Tout simplement son meilleur match sous la vareuse belge. Une résurrection au meilleur moment après avoir traversé une 'saison bidon' avec Chelsea, comme il l’a lui-même admis."

So Foot, qui avait largement critiqué les prestations précédentes des Diables Rouges, a aussi déroulé le tapis rouge pour Eden Hazard. "Aussi imprévisible qu’un Cazarre, aussi impérial qu’un Tzar, il a foutu le bazar dans la défense hongroise et a ressuscité tel un lézard... Bref, plus besoin de le chercher un an après le début de l’alerte enlèvement, Eden est de retour."

"Les joueurs de Marc Wilmots ont multiplié les mouvements à une ou deux touches de balle, notamment en première période, avant de faire un récital de maîtrise de l'art du contre en fin de partie, lorsque les Hongrois poussaient pour égaliser. Deux aspects majeurs du jeu belge que les coéquipiers d'Eden Hazard ont parfaitement su exploiter ce dimanche. Dans le sillage de leur capitaine, impérial", peut-on lire sur le site d'Eurosport, qui ajoute: "La Belgique a changé de braquet au meilleur des moments"

La Gazzetta dello Sport a, de son côté, estimé que les Belges avaient de nouveau revêtu leur costume de favoris qu'ils avaient subitement perdu face à leur défaite contre l'Italie. "Ils ont un potentiel offensif qui fait peur, marquent et ne prennent pas de but. Trois indices qui démontrent que la Belgique est maintenant prête à jouer le rôle qui lui avait été attribué à la veille de ce Championnat d'Europe, et déchiré le temps d'une nuit contre l'Italie de Conte: celle du favori qui a tout pour aller au bout".

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