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Sofiane Hanni: "On veut écrire l'histoire"

Jeudi soir, les huit équipes qualifiées pour les quarts de finale de l'Europa League de football seront connues à l'issue des huitièmes de finale retour. Après la première manche, Anderlecht est idéalement placé pour faire partie des heureux élus.

"90 minutes pour écrire l'histoire, rendez nous fiers !". La banderole déployée par les supporters d'Anderlecht mercredi matin à l'entraînement à Neerpede, n'a pas échappé au capitaine de l'équipe Sofiane Hanni. "Bien sûr que je l'ai vue", a-t-il d'ailleurs confirmé en conférence de presse, à la veille du match retour des 1/8e de finale de l'Europa League de football contre Apoel Nicosie (victoire 1-0 à l'aller), jeudi soir (21h05) au Stade Constant Vanden Stock. "Elle prouve que toute la famille mauve est sur la même longueur d'ondes".

"Oui on veut en effet écrire l'histoire (Anderlecht n'a plus atteint les quarts de finale de l'épreuve depuis 1997, contre l'Inter Milan, ndlr). On va donc jouer le coup à fond. L'entraîneur nous l'a encore rappelé, mais on sait très bien que ce sera extrêmement difficile, et qu'il ne faudra pas calculer. Je suis par exemple sous la menace d'une suspension, mais je n'en tiendrai aucun compte sur le terrain, et les huit autres (!) joueurs concernés (Frank Acheampong, Leander Dendoncker, Bram Nuytinck, Emmanuel Sowah, Uros Spajic, Lukasz Teodorczyk, Isaac Kiese Thelin et Youri Tielemans, ndlr) non plus. On sait que manquer à l'appel au prochain tour ne posera pas de problème vu la richesse de notre noyau, et que l'important c'est d'y être, même suspendu. Ce qui n'est pas encore le cas, loin s'en faut. On n'est qu'à la mi-temps, et Apoel a toujours toutes ses chances. Aucun d'entre nous ne pense que c'est déjà dans la poche. On est concentré sur l'objectif et la confiance est grande au sein du groupe auquel tout le monde est content d'appartenir, tellement on s'y sent bien. On veut gagner et se qualifier mais pas seulement pour nous. Aussi pour les supporters. On veut aussi marquer, mais on sait que ce n'est pas indispensable...", conclut Sofiane Hanni.

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