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Le syndicat chrétien ne cache pas sa satisfaction après l'annonce vendredi par le ministre du Travail, Pierre-Yves Dermagne, que les travailleurs placés en chômage temporaire "corona" durant le premier semestre 2022 verront bien cette période assimilée à une période de travail. Ils ne perdront donc pas des jours de congé et une partie de leur pécule de vacances.
Sans cela, ce sont entre 300.000 et 400.000 travailleurs qui auraient risqué de perdre cette année des jours de congé et une partie de leur pécule de vacances, selon les calculs de la CSC.
"Nous espérons que cela règle définitivement les choses pour les ouvriers et les employés", a déclaré Koen Meesters, secrétaire national au syndicat chrétien.