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Le ministre a accordé un entretien au Soir et à L'Avenir à l'occasion de la sortie de son livre, "L'homme et la mobilité". "Je veux bien travailler, mais quand j'invite les gens à des réunions et qu'ils ne viennent pas, je ne sais rien faire. Cela repose uniquement sur la bonne volonté des ministres", affirme-t-il. "Dans ces matières (la mobilité, NDLR), on est dans un Etat plus proche du confédéral que du fédéral." Reprenant les propos de l'ex-patron de la Stib Alain Flausch, il affirme que le problème, ce sont les "autres" et le "merdier institutionnel belge". Sur le survol de Bruxelles: "Donnez-moi les pleins pouvoirs une demi-journée et le problème est réglé! "