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L'international anglais de Manchester City Kyle Walker, pris pour la deuxième fois en flagrant délit de violation du confinement instauré pour lutter contre la pandémie de coronavirus, s'est défendu vendredi en critiquant la presse qui, selon lui, le harcèle.
"J'ai vécu ces derniers temps l'une des périodes les plus difficiles de ma vie, et j'en assume toute la responsabilité", a écrit le défenseur de City sur son compte Twitter.
"Toutefois, j'ai maintenant le sentiment d'être harcelé. Cela n'affecte pas que moi, mais aussi la santé de ma famille et de mes enfants en bas âge", a-t-il regretté.
Walker, 29 ans, a expliqué qu'il avait rendu visite à ses parents et sa soeur à Sheffield, dans le nord de l'Angleterre, car il ne les avaient pas vus depuis longtemps.
"Par rapport à ce qu'il s'est passé mercredi, je suis allé à Sheffield pour donner à ma soeur une carte et un cadeau pour son anniversaire, mais aussi pour parler à l'une des rares personnes en qui j'ai pleinement confiance. Elle m'a pris dans ses bras pour me montrer que je comptais pour elle et qu'elle m'aimait. Qu'aurais je dû faire ? La repousser ?" a-t-il écrit.
"Je suis allé ensuite voir mes parents chez eux, pour prendre quelques plats préparés. C'est une période tellement difficile pour eux", a poursuivi Parker qui a cririqué la presse britannique qu'il accuse de "le suivre partout".
Début avril, Walker, 29 ans, avait dû présenter ses excuses pour non-respect des règles du confinement. Selon la presse, il aurait invité deux prostituées et un ami chez lui, quelques jours avec avoir prôné le respect du confinement, imposé par la pandémie du coronavirus.