L'agresseur du jeune Marin, laissé pour mort en 2016 après avoir défendu un couple qui s'embrassait à Lyon, a été condamné vendredi à sept ans et demi de prison par la cour d'assises des mineurs.
Celle-ci a retenu l'excuse de minorité, réduisant de moitié la peine maximale encourue (15 ans de réclusion), contrairement à ce qui avait été réclamé plus tôt par l'avocat général et les parties civiles. Marin et ses parents qui l'entouraient ont paru consternés à l'annonce du verdict.