Accueil Actu Magazine Culture

Le Sablon Music Festival revient à Bruxelles ce week-end, après quatre ans d'absence

Le Sablon Music Festival revient à Bruxelles ce week-end après quatre ans d'absence, a indiqué jeudi le cabinet de l'échevin bruxellois des Affaires économiques Fabien Maingain. Dans un style éclectique, l'évènement mettra à l'honneur une musique variée au travers de concerts gratuits de salsa, de rock, de pop ou encore de jazz.

Après trois ans d'inactivité, due au Covid-19 et à un manque de moyens en 2022, le festival revient cette année sur la mythique place du Sablon à Bruxelles. Né il y a 30 ans, sous l'appellation des "Fêtes du Sablon", l'évènement avait pour but d'animer les rues désertées du quartier lors du week-end du 15 août, au travers de spectacles, d'un marché artisanal ou encore de concerts de musique jazz et créole.

Si entre-temps, les Fêtes du Sablon sont devenues le "Sablon Music Festival", la volonté des organisateurs reste de préserver l'esprit familial et le caractère intimiste de l'évènement. Sa programmation est toutefois plus variée aujourd'hui, avec une succession d'artistes d'anciennes générations et de jeunes groupes prometteurs, le festival mettant un point d'honneur à ouvrir sa scène à de nouveaux groupes belges en pleine expansion.

Avec un programme entièrement dédié au rock, la soirée du vendredi démarrera avec le groupe bruxellois Behind the Pines, et se poursuivra avec l'harmoniscite Greg Zlap, qui a notamment joué pour Johnny Hallyday. Atomic plays Blondie, Marka et Comba Canne à Sucre rythmeront quant à eux la journée de samedi, tandis que la scène accueillera le groupe de jazz manouche bruxellois Gamme des Tavernes pour le dernier jour du festival.

Une quinzaine d'échoppes réunissant des restaurateurs du quartier proposant une cuisine du monde permettront également au public de se sustenter au cours du week-end.

À lire aussi

Sélectionné pour vous

Stéphane, enseignant, a été renversé par un parent d’élève sur le parking de l'école: "Je me suis senti complètement abandonné"

En 2019, Stéphane était directeur adjoint d’un établissement scolaire. Alors qu’il accueillait les enfants sur le parking de l’école, l’homme s’est fait renverser par un parent d’élève. Si le conducteur est décédé, laissant le volet pénal sans suite, Stéphane dénonce l'absence de soutien administratif de son employeur, qui complique sa quête de reconnaissance et de dédommagement.