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Le Printemps des sciences aura lieu du 20 au 26 mars dans une vingtaine d'établissements d'enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles. L'objectif est de susciter l'intérêt des futurs étudiants pour les métiers scientifiques et technologiques souvent en pénurie. En particulier auprès des filles qui sont toujours largement en minorité dans le secteur. C'est ce qu'annonce la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Glatigny (MR) samedi dans un communiqué.
Pour cette 22e édition, le budget de l'événement a pratiquement doublé, passant à 431.000 euros dans le but de proposer davantage d'activités et de susciter davantage l'intérêt des jeunes pour les sciences et les matières dites des STEM (sciences, technologies, ingénierie et mathématiques). L'objectif est aussi de permettre aux enseignants d'enrichir leurs connaissances et leur enseignement dans les écoles
Ateliers, laboratoires, expériences, démonstrations publiques, spectacles, projections, conférences… de nombreuses activités sont proposées et animées gratuitement par des enseignants et enseignantes, des chercheurs et des étudiants issus des universités et des hautes écoles, ainsi que par leurs partenaires (musées, associations, entreprises…).
Le thème de ce printemps des sciences est la diversité pour cette édition: diversités des sujets d'étude, des disciplines, des métiers, des méthodes et approches, mais également diversité de genres.
"Trop peu de jeunes, et surtout de jeunes filles, font actuellement le choix (des sciences), alors que ces filières constituent une réelle plus-value pour la société et une passerelle vers l'emploi", déclare Valérie Glatigny, citée dans le communiqué.