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Alizé Cornet sera fixée sur son sort d'ici quatorze jours, après son audience mardi à Londres devant le tribunal indépendant de la Fédération internationale de tennis (ITF), pour ses trois "no show" aux contrôles antidopage survenus entre novembre 2016 et octobre 2017.
La Niçoise de 28 ans risque gros si elle est reconnue coupable, car le règlement de l'ITF prévoit, comme le Code mondial antidopage, une suspension de deux ans ou, en fonction des circonstances, d'un an, pour une telle faute.
L'ITF prévoit une décision dans les 14 jours après l'audition, donc avant le début de Roland-Garros le 27 mai.
Selon la décision, la joueuse ou l'Agence mondiale antidopage (AMA) pourrait alors faire appel devant le Tribunal arbitral du sport (TAS), mais sans forcément que la sanction soit suspendue.