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Le Premier ministre Charles Michel a "rappelé à l'ordre" jeudi à la Chambre le prince Laurent coupable d'une "faute" pour avoir entretenu des contacts politiques au Sri Lanka sans en avoir demandé l'autorisation au ministre des Affaires étrangères, comme l'y enjoint une loi de 2013.
Si une telle situation "devait se reproduire à l'avenir, le gouvernement pourrait en tirer les conséquences", a précisé M. Michel interrogé par la députée Veerle Wouters (ex-N-VA) sur d'éventuelles sanctions à son endroit.
Le Premier ministre a ajouté que si le prince Laurent avait demandé l'autorisation d'entreprendre ces contacts au Sri Lanka, il l'aurait obtenue. Veerle Wouters a affiché sa déception face à une telle réponse.