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Les présidents de partis aux urnes, Michel, Nollet, Khattabi, Di Rupo,...

Les bureaux de vote ouvraient leurs portes dimanche à 08h00 aux quatre coins de la Belgique. Pour ce triple scrutin fédéral, régional et européen, 396 communes voteront sur support papier, tandis que dans les 185 autres, le vote se fera de manière électronique. Charles Michel (MR) s'est rendu, lui, dans l'isoloir à 8h20 à Limal (Wavre) dans le Brabant wallon. "Il est reparti assez vite", a constaté notre journaliste sur place Corentin Simon. "Il a quand même dû faire la file au milieu des citoyens pendant un vingtaine de minutes." À la sortie de l'isoloir, Charles Michel a confié son sentiment à notre journaliste : "Il nous a confié qu'il avait un peu de trac", a ajouté Corentin Simon. Il passera du temps en famille avec son épouse, enceinte, et sa fille avant de se rendre au siège du MR, vers 18 heures, où il sera attendu pour prononcer un discours. 

C'est à Montigny-le-Tilleul dans la province du Hainaut que le co-président d'Ecolo, Jean-Marc Nollet, s'est rendu pour effectuer son devoir de citoyen. Zakia Khattabi, co-présidente d'Ecolo, a quant à elle voté à Ixelles, en région bruxelloise.


 
Maxime Prévot, président du cdH, a voté à Namur, vers 11h. 

Quant à Elio Di Rupo, le président du PS, il s'est rendu aux urnes dans sa ville, à Mons ce matin. Il a fait la file quelques minutes avec d'autres Montois avant de se rendre dans l'isoloir. 

Le porte-parole du PTB a voté ce matin à Liège, vers 10h15, "dans le plus pure style de Raoul Hedebouw, a expliqué notre journaliste RTLINFO sur place, Julien Modave. Il a donné des bisous un peu à tout le monde, il a fait des selfies, il a serré des mains, très décontracté."

Olivier Maingain, le président de DéFI, a voté à Woluwe-Saint-Lambert sur le coup de midi. Il a pris le temps de discuter avec les habitants qui étaient présents. Il est ensuite rentré chez lui "faire un petit jogging et se reposer" avant de rejoindre le siège de DéFI pour attendre les résultats des élections, a expliqué Pauline Laurent, journaliste RTLINFO.

DéFI espère rester le 3e parti à la région ou même faire mieux. Il entend ainsi conserver sa place au parlement bruxellois. En Wallonie, l’enjeu est très différent puisque DéFI espère faire une percée et obtenir un député wallon, que ce soit à la région wallonne ou au fédéral. Pour l’instant, DéFI a beaucoup de mal à percer en Wallonie.

 

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