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Salon de l'auto: les bonnes affaires ont déjà commencé chez les concessionnaires

Le "petit" salon de l'auto a ouvert vendredi matin ses portes à la presse, avant d'en faire de même pour le grand public ce samedi. Il sera accessible jusqu'au dimanche 27 janvier à Brussels Expo, au Heysel. Les concessionnaires automobiles ont déjà appliqués les conditions depuis décembre.

Voitures, motos et vélos électriques s'installent au Heysel jusqu'à la fin du mois pour la 97ème édition du salon de l'auto. Chaque année, l'événement attire des centaines de milliers de personnes : entre 4 et 5% de la population belge assiste à ce salon. Ses organisateurs tablent d'ailleurs sur la visite de quelque 400.000 à 450.000 personnes, là où la précédente version "impaire" consacrée aux utilitaires en avait attiré un nombre record de 437.000 en 2017. L'an dernier, 550.000 visiteurs s'étaient rendus au véritable salon de l'auto.

C'est aussi l'occasion de faire -déjà- de bonnes affaires chez les concessionnaires. La preuve à Nivelles, dans le Brabant wallon, une dame interrogée par nos collègues de Bel RTL est à l’affût d’une bonne affaire car elle fera l’impasse sur le salon de l’auto cette année: "Je n’ai pas le temps, je n’irai pas voir. Nous faisons un peu tous les concessionnaires comme ils sont regroupés ici. Ils font des offres car ils liquident les anciens modèles. Ça peut toujours être intéressant." Un homme, également présent à Nivelles, est clairement en mission. "Je suis en repérage. Je viens pour ma compagne. Je viens de Bruxelles où il y a 20-22% de remise. Ici, je vois 25%. C’est sûr et certain que je vais leur poser la question", dit-il. Troisième cas de figure, une dame qui vient prendre livraison: "Je savais ce que je voulais donc c’était simple. Je suis venue chez le concessionnaire tout simplement."

Du diesel à l'essence

Bien sûr, les conditions salon de l’auto sont déjà d’application depuis décembre. "J’ai signé, il y a 15 jours. Les conditions sont visibles dans leur ordinateur, ils se baseront tous sur les mêmes conditions", pense-t-elle. Dans son cas, la confiance dans la marque a aussi joué. "Si vous êtes content depuis plus de 15 ans avec un véhicule, vous n’allez pas changer."

Mais il y aura quand même un changement pour cette acheteuse, "je passe du diesel à l’essence", concède-t-elle.    

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