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Ils seront 47.000 membres du personnel issue de 600 maisons de repos à passer ce test salivaire régulièrement. C'est un vrai défi logistique pour les équipes en laboratoire.
"Le plus, c'est vraiment de créer cette barrière par rapport aux pensionnaires qui sont les plus vulnérables, et de pouvoir répéter ce test de manière régulière, sans nécessité de personnel médical pour réaliser le prélèvement", explique Laurent Gillet, professeur à la Faculté de médecin vétérinaire de l'université de Liège.
Ces tests n'arriveront dans les établissements que dans quelques semaines. Délivrer autant de kits demande une certaine organisation. Il va falloir accroître la capacité de production et les moyens mis en place
"Il faut : un, produire les kits, deux, les envoyer pour les maisons de repos et trois, organiser la collecte rapide puisque le test va être efficace si nous pouvons délivrer un résultat rapidement aux membres du personnel afin de les écarter le plus rapidement possible", ajoute Laurent Gillet.
Quant à la fréquence de testing du personnel, les scientifiques préfèrent rester prudent pour l'instant.
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