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"J’exige la démission de Monsieur Jambon et je lui conseille d’ouvrir une sandwicherie"

Dans l'émission On refait le monde, le journaliste Christophe Giltay, commente l'attitude de l'opposition et du ministre N-VA Jan Jambon.

Jan Jambon a de nouveau été au centre d’une polémique cette semaine. Il a été membre directeur d’un cercle de débat d’extrême droite qui avait accueilli Jean-Marie Le Pen, alors qu’il avait affirmé avoir juste été membre du public. Mathieu col et ses chroniqueurs ont abordé ce sujet dans l’émission On Refait le Monde.

"Il a trouvé un coin où frapper, il frappe, il frappe, il frappe, jusqu’à ce que ça casse"

Le journaliste Christophe Giltay a d’abord tenu à expliquer la réaction du PS et de l’opposition quand ils ont quitté la Chambre. "Le parti socialiste a raison, il a trouvé un coin où frapper, il frappe, il frappe, il frappe, jusqu’à ce que ça casse. C’est normal. Je veux dire que des oppositions qui quittent l’Assemblée nationale en France, ça se passe toutes les semaines."

"Mais si ça ne lui plaît pas qu’il fasse autre chose, je ne sais pas moi il y a plein d’activités"

M. Giltay  s’est ensuite concentré sur le cas du ministre de l’Intérieur. "Il y a bien des pays où Monsieur Jambon aurait déjà démissionné depuis longtemps.  Vous savez il est ministre de l’Intérieur, j’ai cru lire quelque part qu’il avait fait retiré les drapeaux belges de son ministère. Il a dit que ce n’était pas vrai. Est-ce qu’il y a un pays au monde où on accepterait qu’un ministre de l’Intérieur fasse ça, qu’un ministre de l’Intérieur dise : ‘Je suis ministre mais ça ne me plaît pas’. Mais si ça ne lui plaît pas qu’il fasse autre chose, je ne sais pas moi il y a plein d’activités. Comme il d’appelle Jambon, il n’a qu’à ouvrir une sandwicherie. Tien s voilà c’est la proposition du jour : j’exige la démission de Monsieur Jambon et je lui conseille d’ouvrir une sandwicherie."

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