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Melania Trump dit avoir "d'autres choses" en tête que les infidélités supposées de son mari

La Première dame des Etats-Unis, Melania Trump, a assuré avoir "d'autres choses" en tête que les "spéculations" autour des infidélités supposées de son mari, lors d'un entretien diffusé vendredi sur la chaîne ABC.

Interrogée sur de possibles aventures extraconjugales de Donald Trump, elle a assuré que cela n'était pas "un sujet d'inquiétude". "Je suis une mère et une Première dame, j'ai de nombreuses choses plus importantes à penser et à faire."

La discrète épouse du tempétueux milliardaire était jusqu'ici restée muette sur la liaison supposée du président avec l'actrice de films X Stephanie Clifford - Stormy Daniels de son nom de scène - ou la "playmate" Karen McDougal.

"Les médias aiment spéculer", a rétorqué l'ancienne mannequin slovène de 48 ans. "Ce n'est pas toujours plaisant, mais je sais ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas."

Les aventures supposées du 45e président des Etats-Unis ont, selon les médias, créé des tensions dans le couple. A la question "aimez-vous toujours votre mari ?", Melania Trump a répondu sans emphase: "Oui, ça va."

Et d'ajouter: "Il y a des ragots, ce n'est pas toujours exact."

Sur le même ton laconique, elle a déclaré ne "jamais parler avec M. Giuliani". L'avocat Rudy Giuliani avait assuré que Melania "croyait" son mari face aux allégations de Stephanie Clifford, qui dit avoir eu une liaison avec le président il y a une dizaine d'années.

Melania Trump, qui se tient plutôt à l'écart de la politique, a accordé cet entretien à ABC en marge d'une tournée africaine, qui l'a menée au Ghana, au Malawi, au Kenya et en Egypte la semaine dernière.

La chaîne diffuse des extraits au compte-gouttes depuis quelques jours avant de présenter l'intégralité de l'interview dans la soirée.

Dans cet entretien, Melania Trump s'est également dite "la personne la plus harcelée au monde", ou "l'une d'entre elles", selon un passage diffusé jeudi. Lors de sa tournée africaine, elle a été vivement critiquée, sur les réseaux sociaux et dans la presse, pour avoir arboré un casque colonial.

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