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À l'athénée Pierre Paulus de Châtelet, ils sont 8 dans la section très particulière de technicien en plasturgie. La seule possibilité de poursuivre cette formation en supérieur, c’est à Lille en France. Ces matières plastiques, on les retrouve partout dans le médical, l'aéronautique, l'automobile, l'emballage et le recyclage.
"Chaque année, on a des demandes d'industriels", dit Quentin Depaye, professeur en plasturgie. "Pour avoir des élèves chez eux. On n'arrive pas à fournir tout le monde, il y a vraiment une demande de personnel dans ces différents secteurs."
En Belgique, 30.000 personnes travaillent dans ce secteur et 63 % des entreprises wallonnes spécialisées connaissent des difficultés de recrutement.