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Les enseignants crient pour se faire entendre sous leurs masques: une école à Chiny a trouvé la solution

Un baffle, un micro et Laurence est sauvée. Cette enseignante donne cours à l’Athénée Royal d’Izel à Chiny, en province de Luxembourg. Depuis la rentrée, elle force sur sa voix à cause du masque.

"La deuxième semaine, j’avais mal à la gorge, j’avais les cordes vocales en souffrance et j’ai dû prendre un arrêt maladie à cause de ce problème", confie Laurence Kohl, professeur de français.

Son école a investi 1.500 euros dans l’achat de micros qui sont reliés à un baffle. L’objectif est de faciliter l’écoute des élèves.

Actuellement, une vingtaine de professeurs les utilisent sur base volontaire.

Et l’établissement scolaire voit plus grand. Il réfléchit à un achat groupé avec d’autres écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles.



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