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Ce patron a peur d’être arrêté pour ce qu’il a fait subir à "l'un de ses employés": sa confession prend un sens inattendu

Josh Steimle, chef d’une agence de marketing, a publié son mea culpa sur le réseau professionnel LinkedIn. "Je serais peut-être arrêté pour ce que je m’apprête à écrire, mais il est important que je fasse mes aveux", amorce-t-il. Les charges qui pèsent contre lui sont sans appel, croit-on au bout de quelques lignes de son témoignage, dont voici un extrait :

"Je l’ai fait travailler 100 heures par semaine, pendant des années, sans payer ses heures supplémentaires. Je l’ai souvent fait travailler toute la nuit. Le samedi libre ? C’est ça ! Des jours de vacances ? Je lui ai donné une semaine de repos après des années. Je lui ai fait rater des réunions de famille et des mariages. Je l’ai forcé à travailler quand il était malade et pendant les vacances, même à Noël. Je lui ai fait prendre des risques insensés. Peut-être était-il mieux payé que les autres employés ? Non."

Il n’en fallait pas plus pour susciter la colère des internautes, certains confiant même avoir la nausée à la lecture de cette confession. Mais il était indispensable de lire jusqu’au bout le texte de Josh Steimle pour bien comprendre :

"Je devrais être arrêté pour la manière avec laquelle j’ai traité cet employé. Heureusement personne ne le prendra au sérieux s’il porte plainte parce que, comme vous l’avez probablement deviné, cet employé, c’est moi."

Après la confusion causée par la publication de ce texte, Josh Steimle a souligné que son expérience n’avait "rien d’admirable" et qu’il s’agissait d’une "erreur à ne pas reproduire".

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