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Comment est-ce possible? Après son arrestation, le rappeur Jul casse le web avec son message d'excuses... truffé d’erreurs

Deux jours après son arrestation pour excès de vitesse et conduite sous l’emprise de stupéfiants, le rappeur Jul s’est fendu d’un mot d’excuses sur Facebook… Il aurait peut-être dû se relire.

Voici son message: "Desolé ma team pour ce qu'il cest passé ?. Je sait qui a des enfant et des parent qui me suive cest pas une bonne image pour tt le monde donc voila je tenez a mescusez! #Japprenddemeserreurs". On ne vous fera pas l’affront de traduire ce message en bon français.

Et les internautes s’en sont évidemment donnés à cœur joie dans les commentaires. Morceaux choisis: "Pour le bien des enfants, arrête d’écrire, ou fais comme pour ta voix, utilise un correcteur". "Et pour ton orthographe et tes chansons, tu t’excuses quand?". Bref, l’interprète de "Wesh alors" en a pris pour son grade.


"Je tenez a mescusez"

Le rappeur marseillais avait été remis en liberté lundi soir, après avoir été intercepté en excès de vitesse sur l'autoroute à plus de 160 kilomètres heure, et sous l'emprise de stupéfiants.

Arrêté alors qu'il roulait, selon la police, à une vitesse estimée à "plus de 160 kilomètres heure" en direction de Marseille, Jul faisait des appels de phare aux voitures roulant devant lui, parmi lesquelles se trouvait une voiture de policiers de la Bac, qui l'ont intercepté.

Le chanteur, qui a reconnu avoir consommé du cannabis, avait été placé en garde à vue dimanche soir, a précisé la police, confirmant une information du quotidien La Provence.


Il faisait des appels de phare aux policiers de la Bac

Son passager, lui aussi placé en garde à vue, a été interpellé avec une arme de poing de 9 mm de calibre, et une petite quantité de résine de cannabis, selon la même source.

"L'enquête préliminaire se poursuit" sur "le volet de la possession de stupéfiants, la conduite sous stupéfiant ou le port d'une arme", a précisé à l'AFP la source policière.

En mai, le rappeur le plus écouté de l'année 2016 avait été auditionné dans le cadre d'une enquête préliminaire pour propos injurieux et atteinte à la vie privée, après avoir cité nommément un fonctionnaire de police dans une de ses chansons.

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