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"J’aime et j’adore mes fans, mais cette fois, les choses sont allées un peu trop loin et ma vie privée n’a pas été respectée", a exprimé la chanteuse sur Twitter après que la police se soit rendue à son domicile après plusieurs appels de ses fans, inquiets.
Jeudi, certains fans de la chanteuse, inquiets, ont appelé la police pour demander à des officiers de se rendre à son domicile. Il était alors minuit passé lorsque la police a débarqué à l'improviste chez Britney Spears. La raison ? La chanteuse avait supprimé son compte Instagram, et cela a inquiété ses fans. Pourtant, elle l'a déjà fait à plusieurs reprises.
Jeudi, deux jours après les faits, Britney Spears s'est exprimée sur Twitter, et elle était remontée : "Comme chacun sait, la police a été envoyée chez moi sur base de quelques appels frauduleux. J’aime et j’adore mes fans, mais cette fois, les choses sont allées un peu trop loin et ma vie privée n’a pas été respectée", entame Britney Spears dans sa lettre postée sur Twitter.
La chanteuse a pris le temps d’expliquer à ceux qui la suivent les conséquences de leurs actes : "J’ai eu le sentiment d’être manipulée et humiliée une fois l’incident rendu public et d’être dépeinte, une fois encore, de façon déplorable et injuste par les médias", ajoute-t-elle.
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Britney Spears a donc demandé à ses fans de respecter sa vie privée. Quant à son compte Instagram, il est toujours désactivé. Depuis, la chanteuse a d'ailleurs expliqué les raisons de son départ du réseau social sur Twitter : "J'ai fermé mon compte parce qu'il y avait trop de gens qui disaient que je ressemblais à un idiot qui danse et que j'avais l'air fou. Honnêtement, je faisais de mon mieux mais ça me dérangeait de voir les gens en parler librement à la télé... Ça me faisait mal".
Par contre, elle publie toujours sur Twitter et TikTok, réseau sur lequel circulent toujours les vidéos de certains admirateurs appelant la police pour envoyer une patrouille chez leur idole. A croire que certains sont prêts à tout pour quelques likes supplémentaires… et même se mettre leur idole à dos.
