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Lysa Rose, la Belge de l'île de la tentation, affirme avoir été battue par son ex-compagnon: "J'ai eu une commotion cérébrale" (vidéo)

Lysa, l'ancienne candidate de l'île de la tentation et des Princes de l'amour, a accordé une interview à Sam Zirah sur sa chaîne Youtube. La jeune femme, qui était retournée dans les bras de son ex-compagnon avant une ultime séparation, est revenue sur cette relation qu'elle qualifie de "toxique". La jeune femme dit avoir eu une "commotion cérébrale" suite à des "coups volontaires" il y a quelques mois. 


 
"Je suis partie avec lui après les Princes de l'amour, mais je me doutais bien que ça allait être très compliqué. Le lendemain du jour où on est parti, on était déjà en train de se disputer (...) Ca n'allait déjà plus", a expliqué le mannequin. 

"J'y ai cru parce que quand on a des sentiments, on a toujours envie d'y croire. On a toujours envie de donner une seconde chance. Je m'étais dit qu'il fallait que j'essaie. J'ai voulu y croire. Mais quand ça ne fonctionne pas entre deux personnes à un moment ça ne sert à rien", a lancé Lysa avant de préciser qu'ils n'avaient pas la même vision du respect. La Bruxelloise a ajouté qu'elle n'était pas libre dans cette relation. "Je ne peux pas vivre avec quelqu'un qui me met en cage, qui m'empêche de vivre et d'exister", a-t-elle raconté. 

"On avait des disputes passionnelles. Lui-même l'a dit... Il m'a mis deux-trois tartes", a a précisé la jeune femme tout en précisant qu'il avait minimisé les faits. "Ce que j'enlèverais dans ce que lui dit, c'est que non, ce n'est pas petit, ce n'est pas rien. Ca ne devrait pas arriver", a insisté Lysa. 

 

"Ce n'étaient pas trois tartes, j'ai été à l'hôpital, j'ai eu une commotion cérébrale". "Pendant deux semaines, je ne pouvais pas sortir. Je ne voulais pas que les gens voient. Ou j'avais des énormes lunettes pour cacher...(...) Ce sont des choses compliquées à dire. C'est dingue, mais j'ai ressenti comme une honte par rapport à ça après. Je me suis dit que c'était de ma faute, j'ai entendu que ce sont des choses que beaucoup de femmes dans ma situation ont. Ce n'est pas facile d'en parler. J'ai commencé à en parler à ma famille qui m'a dit d'aller directement porter plainte et ensuite à mes amis", a détaillé Lysa qui tente de se reconstruire. Elle retrouve le sourire peu à peu et se sent de mieux en mieux.

"Quand j'y repense, je me dis mais comment ça a pu être possible en fait ? (...) Il y avait beaucoup de fois où on se disputait, j'avais besoin de partir, de me calmer de mon côté et ensuite de revenir pour discuter quand je suis calme. Lui dans ces moments-là, il m'empêchait de sortir, car il considérait qu'il fallait parler sur le moment. Par exemple, il me prenait les poignets. Moi je pouvais réagir en le poussant (...) Il n'appréciait pas trop mes amis mais il avait les numéros de tout le monde. Il appelait mes amis si je ne répondais pas dans la minute. C'était très compliqué. Je me suis retrouvée isolée et je me disais, mais ce n'est pas possible, je n'ai pas d'amis. C'était une situation très malsaine pour moi. Maintenant que c'est terminé, je me rends compte que je suis hyper entourée et que j'ai plein d'amis", a ajouté Lysa. 

"En parler est libérateur, car il y a eu tellement de pression par rapport à tout ça. Il faut que je me libère", a lancé la Bruxelloise. 

"J'ai une audience aujourd'hui et donc c'est important de faire passer le message que ça ne doit pas arriver", a précisé Lysa. "Il y a un respect qu'il n'y a pas eu dès le début de mon ancienne relation et aujourd'hui je sais que c'est une chose qui sera primordiale (...) Cette relation était une relation toxique. Peut-on réellement parler d'amour dans une relation toxique?", a précisé la Belge. 

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