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Dans une tenue sexy, Agathe Auproux dévoile son cathéter: "Ce n'est ni le cancer ni la chimio qui vont dicter ma vie" (photo)

Actuellement traitée pour un lymphome, un type de cancer, Agathe Auproux a décidé il y a quelques semaines de ne plus faire semblant. "J'ai un cancer"annonçait-elle le 11 mars sur son compte Instagram. Le message était accompagné d'une photo d'elle, souriante, dans un lit d'hôpital. "Je suis en chimiothérapie depuis mi-décembre et pendant encore trois mois. Je suis souvent à l’hôpital, je suis très fatiguée, je perds mes cheveux, j’ai un cathéter que je déteste placé sous ma peau. Mais tout va bien. Tout va bien. Je me repose. Je ne vais pas mourir. Je réponds très bien au traitement", écrivait-elle.

"La tenue n’est pas cathéter-friendly"

Et ce cathéter qu'elle "déteste", lui aussi, elle a semble-t-il cessé de le cacher. Le dispositif médical placé sous sa peau permet la perfusion de sa chimiothérapie. 

"(La tenue n’est pas cathéter-friendly mais reste exceptionnelle mdr)", écrit-elle en légende d'une photo d'elle dans un petit haut noir très sexy. Sur le haut de sa poitrine, tout le monde peut apercevoir le fameux cathéter, avec lequel elle doit vivre le temps de son traitement. "C'est vraiment l'histoire de la meuf qui sort une fois dans l'année et qui sort sa plus belle tenue", ajoute-t-elle en story sur son compte Instagram.

"Entre deux chimios ça ne te dérange pas que je fasse ce que je veux?"

La jeune femme est actuellement à Miami. Entre deux chimios, elle a décidé de prendre du bon temps, mais certains remettent déjà en cause sa bonne foi. "Je suis surpris de voir que vous êtes à Miami alors qu'il y a quelques temps vous étiez couchée sur un lit d'hôpital? Grand coup de bluff pour vendre des fringues?", dit un certain "Fabrice". La jeune femme n'y est pas allée par quatre chemins: "Entre deux chimios ça ne te dérange pas que je fasse ce que je veux? Tocard." 

"Ceux qui ont validé ce commentaire, vous validez un discours malveillant qui sous-entend que les personnes malades n'ont plus le droit de vivre, un discours dangereux qui les enferme dans leur condition. Ce n'est ni le cancer ni la chimio qui vont dicter ma vie", écrit-elle pour clore le débat. 

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