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Dans une interview à Vanity Fair à l'occasion de la sortie de son livre, l'ancienne journaliste de TF1 s'est confiée… mais non pas sans un gros coup de gueule.
Si Anne Sinclair a accepté de donner une interview à Vanity Fair, c'était pour parler de son nouveau livre, Chro­nique d’une France bles­sée, à paraître le 1er mars aux éditions Grasset. Mais la journaliste qui l'a interviewée l'a également interrogée sur les infidélités de son ex-mari, Dominique Strauss-Kahn et les scandales qui ont sali son mariage. Avant de répondre aux questions et de se livrer sur le sujet, Anne Sinclair s'est d'abord emportée: "Cette histoire va donc me pour­suivre jusqu’à ma mort?? Mais merde alors?! Est-on vrai­ment obligé de reve­nir là-dessus??", a-t-elle lancé.
Mais elle s'est finalement lâchée et a répété ce qu'elle a déjà clamé concernant les infidélités de DSK: "Je ne savais rien, je faisais confiance, je ne fliquais rien", a-t-elle expliqué. Elle a toujours fait confiance à son ex-époux à l'époque, et comme de nombreuses femmes, elle a seulement eu quelques doutes. "Il y a du déni de la femme qui ne veut pas voir, dit-elle. Mais quand j’avais des doutes, car j’en ai eu des doutes, Domi­nique me donnait toutes les assu­rances". "Il n’y a que toi", assurait-il.
Alors, lorsque le scandale du Sofitel de New York éclate en 2012, elle le soutient malgré les mises en garde de ses proches, considérant qu'on "ne lâche pas un homme à terre", selon ses termes.
Après, il y a eu l'affaire du Carlton de Lille, Dodo la Saumure, les prostituées... Et là, Anne Sinclair n'a plus supporté et a décidé de partir. "Je me demande parfois si vingt ans de ma vie ont été vingt ans de mensonges", confie-t-elle encore à Vanity Fair.
