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Justin Bieber accusé de viol par deux femmes: il dément

Samedi 20 juin, une certaine "Danielle" a déclaré sur Twitter avoir été violée par Justin Bieber. Son compte a disparu depuis, sans plus d'explications. Dans son tweet, elle racontait avec force détails l'agression dont elle affirmé avoir été victime en mars 2014 à Houston (Etats-Unis) lors d'une soirée organisée dans un restaurant après un concert.

"Un homme s’est approché de nous et nous a demandé si nous voulions attendre pour rencontrer Justin. Nous avons dit oui évidemment, écrit Danielle. Justin et un autre homme, qui s’est révélé être son ami, nous ont invitées au Four Seasons Hotel. L’ami de Justin a amené mes deux amies dans une chambre et (Justin) m’a emmenée dans une autre chambre."

"J’ai commencé à me dire que tout ceci était suspect. Je lui ai demandé où était Selena, pour faire la conversation. Il m’a dit de ne pas m’en inquiéter, qu’elle nous rejoindrait plus tard. Je continuais à poser des questions pour faire la conversation, mais il s’est penché sur moi pour m’embrasser. J’étais sous le choc", poursuit la jeune femme qui détaille ensuite la présumée agression.

"Nos petits baisers sont devenus une séance de préliminaires. Il m’avait poussée contre le lit au bout de dix minutes, s’est mis au-dessus de moi, a déboutonné mon jean, l’a enlevé et a commencé à chercher mes sous-vêtements avec ses doigts. Je lui ai dit que ça allait trop loin et que nous devrions arrêter parce que j’avais besoin de retrouver mes amies, parce que je me sentais coupable envers Selena. C’est là qu’il m’a dit : ‘Relax. Tout le monde va bien.’ Il m’a ensuite retiré la culotte, a enlevé son pantalon, son caleçon, a tiré les draps pour les mettre sur nous. Son corps était sur le mien, peau contre peau. J’étais très mal à l’aise et j’ai eu du mal à respirer. Je lui ai dit de se retirer parce que je m’inquiétais vraiment pour mes amies, mais il était trop tard. Il m’a pénétré avant que j’aie pu ajouter quoi que ce soit."

Peu après, une deuxième femme a accusé Justin Bieber de faits similaires, cette fois-ci lors d'une soirée à New-York en 2015. "Il a attrapé ma main et l’a posée sur lui. Il était assis sur un canapé, je suis tombée sur son torse. J’ai commencé à me relever et il m’a embrassée, touchant mes fesses et me demandant si elles étaient vraies. J’ai dit oui, j’ai retiré ses mains et je me suis levée. Je suis allée aux toilettes et il m’a suivie, a fermé la porte à clé. Je lui ai demandé ce qu’il se passait et pourquoi il avait fermé la porte à clé, il m’a répondu qu’il allait me dire pourquoi. Il a commencé à m’embrasser, à me toucher le corps et à me caresser. Je lui ai dit d’arrêter, que je ne pouvais pas avoir de rapport avant le mariage (quelque chose de traditionnel et de culturel). Il m’a poussée contre le lit et s’est mis sur moi et m’a pénétrée et je l’ai repoussé en frappant entre ses jambes et je suis sortie en courant", écrit-elle.

Le chanteur a rapidement réagi à ces accusations. "Les rumeurs sont des rumeurs, mais les abus sexuels sont quelque chose que je ne prends pas à la légère. Je voulais parler tout de suite, mais par respect pour tant de victimes qui traitent ces questions quotidiennement, je voulais m'assurer d'avoir rassemblé les faits avant de faire une déclaration" , a-t-il écrit sur Twitter.

Justin Bieber reconnait avoir dîné au Four Saisons le 10 mars, mais dit ne pas y avoir logé. Il a publié des factures de l'hôtel d'Austin et du Airbnb où il affirme avoir séjourné à ce moment-là. "Je suis resté avec Selena et nos amis dans un Airbnb, le 9 et le 10 j'ai séjourné dans un Westin parce que notre réservation d'hôtel à LÀ Quinta et non le Four Saisons était foutues. Voici les reçus de l'hôtel du 10", a-t-il publié.

Après avoir publié ces documents, le chanteur a conclu en annonçant qu'il y aurait une suite judiciaire : "Chaque plainte pour abus sexuel doit être prise très au sérieux et c'est pourquoi ma réponse était nécessaire. Cependant, cette histoire est en fait impossible et c'est pourquoi je travaillerai avec Twitter et les autorités pour engager des poursuites".

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