Rivalité entre Valérie Trierweiler et Ségolène Royal : "Elle a tout cassé dans la loge"

Le 6 avril 2014, le couple Royal-Hollande est à nouveau réuni sur la scène politique lors du congrès de Rennes. En coulisse, Valérie Trierweiler observe la scène. "Je ressens, au sens littéral du terme, cet excès émotionnel incontrôlable", confie-t-elle dans son livre.

Lorsque François Hollande demande à la foule d’acclamer son ex-compagne, Valérie Trierweiler craque et éclate en sanglots : "je touche le fond, anéantie"."Il m’est physiquement impossible de les voir tous les deux mains dans la main", écrit-elle. De rage et ne pouvant se contenir,Valérie Trierweiler détruira une des loges à la fin du meeting. 

Le soutien affiché à Olivier Falorni

Au sujet de son soutien à Olivier Falorni, rival de Ségolène Royal lors des élections législatives en 2012, via ce fameux tweet, Valérie Trierweiler confirme qu’elle a pris cette décision seule.

"J’appuie sur le détonateur et j’en suis la seule responsable. Mais la bombe à retardement a été fabriquée par François Hollande et Ségolène Royal, avec leur jeu constant entre privé et public, à coups de photos de famille et de déclarations ambiguës. Tantôt ils s’affrontent, tantôt ils se servent l’un de l’autre comme marchepied (…) Ce jeu politique entre eux n’a pas de fin, c’est un labyrinthe dans lequel je me suis perdue", écrit-elle.

Un autre extrait relate un dîner en tête à tête entre François Hollande et Valérie Trierweiler où Ségolène Royal aurait fait irruption. François Hollande, à ce moment précis, n’aurait pas osé dire un mot.

La jalousie de Michelle Obama

Passionnée, jalouse, possessive, Valérie Trierweiler l’admet ouvertement. Elle évoque une anecdote lors de la cérémonie d’hommage à Nelson Mandela. On se souvient du selfie de Barack Obama avec la première ministre du Danemark. À ses côtés, la jalousie de Michelle Obama est perceptible. "Je me réjouis de ne pas être la seule jalouse", écrit l’ex première dame de France.