Accueil People

Shy'm souvent attaquée sur son look: "Quand c'est différent, ça ne veut pas dire que c'est moche" (vidéo)

RTL INFO a rencontré Shy'm à l'occasion de la sortie d'"Agapé", son 7e album. En total look imprimé bandana vert dans un ensemble oversize assorti de bottines blanches, la chanteuse de 33 ans affirme un look rafraîchissant et tout sauf "passe-partout". Ses habits, c'est sa façon de "porter des messages", en tant qu'artiste: "C'est un façon de s'exprimer, dans beaucoup de métiers artistiques. Dans la peinture, on va s'exprimer avec autre chose qu'avec des mots. Par la danse, on va dire des choses qu'on ne peut pas dire avec des mots non plus".


"Quand c'est différent, ça ne veut pas dire que c'est moche"

Des choix qui ne sont pas toujours faciles, à l'image de certaines tenues portées dans Danse avec les stars, qui ont parfois été très critiquées: "Ma façon de m'habiller, c'est aussi une façon de m'affirmer, d'affirmer une différence, de montrer mon caractère aussi où j'aime le changement, j'aime explorer des choses. J'aime me laisser croire qu'on peut aussi convaincre les gens que même quand c'est clivant, même quand c'est différent, ça ne veut pas dire que c'est moche, même si c'est parfois un peu dérangeant ou inhabituel, on peut trouver aussi ça beau".


"J'ai cette conscience-là, que ça va faire parler"

Shy'm nous confie être souvent sur Instagram, où elle suit des comptes de parodies, des "trucs un peu à la con", comme beaucoup de monde, mais aussi sa famille et d'autres artistes. C'est là aussi, notamment, que fusent des commentaires négatifs sur son apparence. Comment les prend-elle? "Il y a plusieurs axes… Il y a ce côté où c'est un peu devenu habituel, parce qu'à chaque apparition, je fais des choix clivants, je ne vais pas porter des choses classiques qui vont rendre les gens unanimes, donc j'ai cette conscience-là, que ça va faire parler. Il y a un second axe aussi où je prends plaisir à ça, à faire réagir les gens, à créer une espèce de dépendance quand ils se demandent ce que je vais porter, quelle coupe je vais avoir, et cætera, et puis il y a un autre axe où on se dit, ce n'est pas que ça non plus, où parfois ça fait mal, parfois c'est gratuit, et on aimerait qu'on parle d'autre chose". 

À lire aussi

Sélectionné pour vous