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Une PREMIERE: le Parlement britannique soutient Meghan Markle face à la pression médiatique

Dans une lettre ouverte, des députées britanniques, membres du Parlement britannique, ont affiché leur soutien à la duchesse de Sussex face à la pression médiatique. Elles n'excluent pas de prendre des mesures si ces attaques continuent d'enflammer la toile.

Meghan Markle a fait l’objet de beaucoup d’attaques de la part des médias britanniques. Depuis l’annonce de ses fiançailles avec le Prince Harry, les violentes critiques ne cessent de déferler. Critiquée sur son physique mais également sur ses capacités à être une bonne mère, la duchesse de Sussex subit la pression médiatique, plus que les autres membres de la famille royale.

Exaspéré par ce tourbillon médiatique, le prince Harry avait alors lancé des poursuites judiciaires contre plusieurs médias britanniques début octobre. Il souhaite que la presse laisse sa femme en paix.

Dans ce combat contre le harcèlement des médias, Meghan Markle peut compter également sur un soutien de taille. En effet, pas moins de 72 femmes membres du Parlement britannique ont apporté leur soutien à la duchesse de Sussex. Elles ont exprimé leur solidarité dans une lettre ouverte le mardi 29 octobre. Une missive partagée sur le compte Twitter de la députée britannique Holly Lynch. Une prise de position qui fait suite à un documentaire sur le voyage du couple en Afrique, diffusé le 20 octobre dernier. Dans celui-ci, la jeune femme disait souffrir de cet harcèlement des médias.

Les députés dénoncent ainsi les comportements de certains journaux britanniques. "En tant que députées de toutes les convictions politiques, nous voulions exprimer notre solidarité avec vous contre la nature déplaisante et trompeuse des histoires publiées dans un certain nombre de nos journaux nationaux à votre sujet, votre caractère et votre famille", peut-on lire au début de la tribune.

En tant que "femmes de la vie publique", les députées disent partager avec l’épouse du prince Harry "la compréhension des abus et intimidations, si souvent utilisés comme des moyens de dénigrer les femmes dans leurs fonctions officielles".

"Nous dénonçons ce qui ne peut être décrit que comme des connotations dépassées et coloniales (...). Nous attendons des médias nationaux qu'ils aient l'intégrité de savoir lorsqu'un article est dans l'intérêt du pays, et lorsqu'il cherche à démolir une femme sans aucune raison apparente. Nous utiliserons les moyens à notre disposition pour assurer que notre presse accepte votre droit à la vie privée", déclarent-elles. Les parlementaires n’excluent pas de prendre des mesures si ces attaques continuent à déferler sur la toile médiatique.

Un soutien qui devrait probablement rassurer la jeune femme.

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