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L'Amour est dans le pré: une candidate SE LÂCHE et raconte ses ébats sexuels à ses rivales (vidéo)

Pour la treizième saison de l'Amour est dans le pré, 10 agriculteurs, à la recherche de l’âme sœur, ont confié leur destin amoureux à Sandrine Dans. Parmi eux, une femme et neuf hommes âgés de 24 à 55 ans. Ces célibataires aux parcours touchants et atypiques ont fait appel à elle dans l’espoir de briser leur solitude.

C'est dans le petit village de Froyennes, près de Tournai, que les agriculteurs ont rencontré celles et ceux qui pourraient bien faire basculer leur destin amoureux. Lors du speed dating, Alain a fait la connaissance de ses prétendantes. Il a partagé cinq minutes avec chacune d'entre elles. Nathalie, ravie de sa première rencontre avec le célibataire, a rejoint les autres femmes venues pour Alain. Elle leur a raconté comment ce moment s'était passé.

En expliquant qu'ils étaient assis sur des ballots de paille durant le rendez-vous, elle a fait réagir Janique, une des prétendantes d'Alain. "Des ballots de paille? Ah, ça va me rappeler des souvenirs quand j'étais plus jeune. J'habitais tout près d'une ferme et avec mon amoureux, on allait souvent faire...", a dit la femme avant de poursuivre: "Ma première fois, c'était dans un ballot de paille".

Ces confidences ont visiblement surpris ses rivales. "Ça devait gratter", a fini par lâcher Nathalie. "Non, on a l'impression que ça gratte, mais ça ne gratte pas. À mon avis, on est tellement occupé à faire autre chose qu'on ne ressent pas", a précisé la candidate.

Janique a fini par rejoindre Alain pour les cinq minutes de speed dating. "J'aime tout moi", a lancé la prétendante au célibataire. "J'ai déjà fait du camping, du mobil-home, j'ai déjà été dans des hôtels. Mon dernier voyage, c'était Cuba. Mais j'ai déjà fait beaucoup de pays", a raconté la femme. Alain a cité tous les pays que lui aussi avait visité, mais Janique a rapidement repris le contrôle de la discussion.

Elle a expliqué qu'elle avait rencontré quelqu'un en République Dominicaine il y a une dizaine d'années. "Il habite à Montréal. Il m'a invité. On correspond régulièrement. Il voudrait bien me revoir. Il m'a dit: "Il faudrait que tu viennes à Montréal, quand est-ce que tu viens".

Alain a fini par lui répondre : "Il y a un aéroport à Montréal donc c'est facile".

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