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Viols, complicité d'atteinte sexuelle, détournement de mineurs: Jeremstar dit tout sur les faits qui lui sont reprochés

Après plusieurs mois de silence, Jérémy Gisclon, dit Jeremstar, s’est exprimé au micro de Quotidien. En janvier dernier, le chroniqueur TV et vedette française de Snapchat avait disparu des écrans radars après la diffusion sur les réseaux sociaux d'une vidéo à caractère sexuel et de conversations privées.

Que lui reproche-t-on aujourd'hui ? Que s'est-il passé exactement ? Sur le plateau de Yann Barthès, Jeremstar a tenu a rétablir sa vérité. 

"Il fallait que je reprenne le cours de mon existence. Je me suis mis à disposition de la justice pendant deux mois. Pendant cette période, je n’ai pas été convoqué, ni placé en garde à vue, ni mis en examen et encore moins entendu en tant que témoin. Je décide de reprendre mes activités", a-t-il affirmé pour justifier sa présence sur le plateau de l'émission. 


Une vidéo à caractère sexuel est largement relayée 

Dans la nuit du 14 au 15 janvier dernier, un utilisateur de Snapchat accuse Jeremstar de lui voler un scoop. Ce blogueur est âgé de 19 ans et est surnommé "Aqababe". Pour se venger, il décide de diffuser, sur les réseaux sociaux, une vidéo à caractère sexuel où Jeremstar apparaît. La vidéo est largement diffusée. 

"C’est une sex-tape qui n’a pas été volontairement tournée", explique Jeremstar qui assure ne plus se rappeler de l'origine de cette vidéo. "Ça remonte à plus de dix années. Je ne l’ai jamais vu circuler", affirme-t-il. 

Mais les accusations ne s'arrêtent pas là. "Aquababe" formule de graves accusations de détournements de mineur à l’encontre d’un des proches de Jeremstar. Il s'agit de Pascal Cardonna, connu sous le pseudonyme "Babybel".


"S’il devait y avoir un -gate, ce serait un 'Cardonnagate'"

Selon certains témoins, Pascal Cardonna profiterait de la célébrité de Jeremstar pour attirer de jeunes garçons chez lui. Ce dernier conteste les faits et a d'ailleurs déposé une plainte pour diffamation et atteinte à la vie privée auprès du procureur de la République de Nîmes. 

Rapidement, l'affaire a été médiatisée sous le nom de "Jeremstargate". Mais de son côté, le blogueur assure n'être au courant de rien. "J’ai été mis dans une affaire qui n’est pas la mienne. On a accolé mon nom à des choses qui ne me concernent absolument pas. Il n’y a pas de 'Jeremstargate'. S’il devait y avoir un -gate, ce serait un 'Cardonnagate'", s'est-il exclamé. 


"Il ne s’est jamais rien passé, je ne l’aurais pas toléré"

"Je le (Pascal Cardonna) fréquentais dans un contexte festif et théâtral puisque je le mettais en scène dans mes stories Snapchat. J’ai filmé les soirées, si j’avais quoi que ce soit à me reprocher, je n’aurais jamais filmé de manière panoramique. Il ne s’est jamais rien passé, je ne l’aurais pas toléré", a-t-il poursuivi.

Depuis, le jeune homme a expliqué vivre un véritable enfer, "cloîtré" chez lui. Il accuse les réseaux sociaux, soit la base de son business, d'être des lieux où la haine est gratuitement déversée, sans possibilité de se défendre. "On est dans des dérives de #balancetonporc, c’est la dictature des réseaux sociaux", a-t-il déploré.


Quel avenir médiatique pour Jeremstar?

Celui qui s'est fait connaître en accueillant des stars de la télé-réalité affirme avoir pris conscience de beaucoup de choses avec cette affaire. "Je ne recevrais plus jamais de candidats de télé-réalité dans ma baignoire. J’ai envie de faire les choses différemment. J’ai envie de porter la jeunesse dans autre chose que ça", a-t-il annoncé.

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