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Coup dur pour Pierre de Top Chef : son propre père l’envoie en dernière chance ! (vidéos)

Difficile de se faire un nom lorsqu'on est le fils d'un chef triplement étoilé. Encore plus lorsque ce dernier vous juge lors d'une épreuve de Top Chef...

Cette semaine dans Top Chef, les candidats ont été confrontés à leur mentor, leur "guide spirituel" qui a fait d’eux le cuisinier qu’ils sont. Chaque mentor a préparé un panier, pour deux candidats. A la fin de l’épreuve, chaque mentor décide à l’aveugle qui de son protégé ou son adversaire remporte le duel. Le mentor de Pierre Meneau est tout choisi : il s’agit de son père, Marc Meneau, chef triplement étoilé. "Je suis très content qu’il soit là aujourd’hui, ce qu’il m’a appris c’est avant de bien savoir cuisiner, il faut bien savoir manger", explique Pierre.


Sans filtre à propos de son fils

C’est le père de Pierre Meneau qui est son mentor, qui lui a transmis sa passion. "Il m’a appris à travailler dur, à suivre la justesse des produits, des assaisonnements, des cuissons, des goûts". Le père de Pierre est plutôt brut de décoffrage. Comme l’explique son fils, c’est quelqu’un "sans filtre". "Je suis très heureux qu’il fasse cette performance-là, parce que ça va lui apporter des coups qu’il a peut-être besoin", commente-t-il d’ailleurs.

Marc Meneau a concocté un panier qui ressemble à un défi pour son fils: à l’intérieur il y a tous les ingrédients de l’un de ses classiques, le turbot rôti sur os à moelle. Il affronte Franck sur ce panier pour réinterpréter ce plat signature de son papa. "Je fais la recette de mon père. Elle sera différente dans le dressage, dans l’exécution finale, mais après, dans le goût".


"Les enfants sont là pour ne pas décevoir les parents"

"Si tu la loupes, tu sais qu’il te renie"
, plaisantait Michel Sarran lors de la préparation... Riant jaune, il commentait alors: "Il est hors de question de décevoir mon père, ce serait une claque". Mais Pierre n’a pas réussi à séduire son père, qui a préféré le plat de Franck lorsqu'il l'a goûté à l'aveugle. "Là, je mets un bémol", a-t-il commenté. Il n’a pas obtenu non plus le vote des autres chefs, et a donc fini en dernière chance.

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