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Jean-Michel Maire pique un gros fard en entendant la déclaration d'amour de Clara Morgane

Après l’annonce du départ de Thierry Moreau, Cyril Hanouna a accueilli Jean-Michel Maire dans le fauteuil du mercato avec appréhension. Heureusement Clara Morgane a immédiatement détendu l’atmosphère en faisant rougir le chroniqueur grâce à ses compliments.

Depuis quelques jours, Cyril Hanouna a lancé une nouvelle séquence dans Touche pas à mon poste. Elle s’appelle le Mercato TPMP et tour à tour, les chroniqueurs viennent faire le bilan de leur année, reçoivent les critiques ou compliments de leurs collègues et disent s’ils seront encore autour de la table l’année prochaine.


"Moi je suis fan de toi en tout cas"

Il y a quelques jours, alors qu’il était dans le fauteuil central, Thierry Moreau, qui officiait dans l’émission depuis le début, a annoncé qu’il partait. Cyril était donc stressé au moment de faire venir Jean-Michel Maire, lui aussi là depuis la première émission, au centre du plateau. Première nouvelle, il ne compte pas quitter l’équipe. Mais le moment le plus important de cette séquence est venu grâce à l’invitée, Clara Morgane. L’ancienne star du X a sorti une tirade de compliments à Jean-Michel Maire qui s'en est montré très ému. "Moi je suis fan de toi en tout cas. Je trouve que tu es un immanquable de l’émission", lui a-t-elle d’abord dit, provoquant les rires des autres chroniqueurs et de Cyril Hanouna, mais faisant surtout rougir Jean-Michel.


"Tu retombes toujours sur tes pieds et je trouve que tu es super dans l’émission"

Et elle ne s’est pas arrêtée en si bon chemin puisqu’elle a ajouté : "Je trouve qu’il fait un truc incroyable, c’est qu’il est digne en toute circonstance. Il se retrouve dans des situations totalement improbables, il est toujours là, digne (…) Tu retombes toujours sur tes pieds et je trouve que tu es super dans l’émission".

Penaud et flatté, le chroniqueur lui a répondu : "Je t’aime Clara". Des compliments qui l’ont boosté avant de recevoir la critique gentille d’Isabelle Morini-Bosc et celle beaucoup plus acerbe de Gilles Verdez.

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