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Le Diable Rouge s'est livré comme rarement dans le reportage "Dries Mertens: dieu à Naples" qui a été diffusé sur la chaîne flamande "Één". Il y fait part de ses états d'âme sur sa vie de famille, son club et s'exprime évidemment sur la Coupe du Monde qui débutera en Russie le 14 juin prochain.
Considéré comme un héros à Naples, Mertens explique qu'il ne peut pas marcher dans les rues de la ville sans être accosté par des fans. "Naples compte un million d'habitants et je pense que j'ai été photographié avec tout le monde", souligne-t-il. "Je me sens vraiment bien dans cette ville. J'ai encore deux ans de contrat, donc j'ai le temps avant de penser à mon futur."
Naturellement, son épouse Kat Kerkhofs joue un rôle important dans ses plans d'avenir. "Elle ne veut vraiment pas aller en Chine (rires)", ajoute-t-il, alors que sa clause libératoire s'élève à "seulement" 28 millions d'euros.
"Avoir des enfants n'aide pas à éviter les blessures"
Sur sa vie privée, l'attaquant des Diables Rouges a confié qu'il était "heureux" de ne pas avoir d'enfants pour l'instant. "Parfois, les enfants de mon frère viennent ici à Naples et ils veulent jouer dès sept heures du matin. Après m'être occupé d'eux, je ressens ensuite de la fatigue dans mes jambes pendant l'entraînement. C'est la raison pour laquelle je pense vraiment que le fait d'avoir des enfants n'aide pas à éviter les blessures. Donc, je respecte vraiment les meilleurs athlètes qui ont déjà fondé une famille", a-t-il déclaré.
Enfin, Dries Mertens a également donné son point de vue sur l'événement qui déchaîne actuellement les passions, à savoir la Coupe du Monde. "Nous pensons que nous pouvons devenir champions du monde. Mais, je lis tellement que la Belgique doit devenir championne du monde. Restons calmes et nous verrons match après match où cela nous mènera. En tout cas, nous avons les qualités pour le faire", a-t-il conclu.
