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Infrastructures colossales, fans des Diables Rouges, stades parsemés: les confidences de notre journaliste, de retour du Qatar (vidéo)

Emiliano Bonfigli est revenu plus tôt qu'espéré de la Coupe du monde au Qatar. Notre journaliste, qui a suivi les Diables Rouges pendant leur parcours à la Coupe du Monde, a vécu ce tournoi comme rarement. C'était d'ailleurs la troisième fois qu'il couvrait un tournoi de cette envergure.

Sur le plateau du Vestiaire, il est donc revenu sur son aventure. Avec déjà un premier bilan positif. "C'était celle qui était la mieux organisée", a lancé notre journaliste. "C'était incroyable, tout était neuf, moderne, clinquant, c'était très impressionnant, les infrastructures, les stades... J'ai ouvert de grands yeux. Il ne faut pas oublier comment ils les ont construits évidemment. C'était quand même perturbant à ce niveau-là", a-t-il confié, annonçant, en exemple, des métros qui disposent d'une première classe comme les trains chez nous ou des hôtels plus que modernes.

Il est ensuite revenu sur la polémique des faux supporters. Mais lui a une explication, ayant croisé des fans indiens venus supporter notre équipe nationale. "En Inde, ils adorent le foot et il y a des clubs de supporters. Ils sont fans de De Bruyne, donc ils vont supporter la Belgique", a-t-il expliqué, faisant un petit peu halluciner le plateau. 

S'il tire un bilan globalement très positif, il est tout de même très déçu du manque d'affluence dans ce tournoi. "Les stades n'étaient pas remplis. On nous annonçait le contraire à chaque fois. Mais autour de moi, il y avait 10 places libres à gauche, 10 à droite... Il y avait un esprit un peu village olympique. Des fans pouvaient aller voir plusieurs matchs, les journalistes allaient voir des matchs tous les jours", précise-t-il, évoquant l'option d'un problème financier. "Je pense qu'il y a des gens qui ont acheté des tickets et qui n'ont pas fait le voyage parce que ça reste très coûteux d'aller sur place", a-t-il conclu.

Un tournoi qui, certes, s'est achevé trop tôt, mais qui laissera chez lui une trace indélébile. 

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