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Dans le studio où Frank Michael a ses habitudes, Lou travaille comme un pro. Le jeune homme peaufine l’enregistrement de son hymne pour les Diables. "Le message que je fais passer dans cette chanson, c’est la diversité. La diversité parce que tout simplement je suis tout sauf raciste. Il n’y a que les cons pour être racistes", explique-t-il au micro D’Amélie Schildt et Aurélie Henneton pour le RTLinfo 19H.
Soutenu par Lou Deprijck
L’idée est partie d’une simple blague, mais elle a fait son chemin. Le morceau cartonne sur internet. Le producteur Lou Deprijck en personne a décidé de soutenir le projet. IL
len est sûr, l’hymne de Lou a tout d’un tube. "Mon pif marche toujours. Si je plonge, c’est que j’ai eu un coup de cœur. Et puis, Toots Thielemans disait toujours : ‘Il faut ça, il faut ça et il faut ça’, et à partir du moment où on a ça, tout va ensemble", décrit-il en montrant ses oreilles, son nez et sa peau.
Henri le Magnifique et Marka
Les Diables Rouges ne manquent pas de soutien en musique. À Charleroi, Henri le Magnifique entend bien remplacer Damso, avec son "rendez-vous à Moscou". "C’est un défi, c’est une histoire de dingue, c’est une histoire d’amitié, c’est une histoire de fous comme il n’en existe qu’ici à Charleroi ou ailleurs en Belgique. Ou dans l’univers, mais c’est ici et maintenant et voilà", raconte Henri, face à la caméra de Nathan Gerlache. Le chanteur Marka est lui aussi monté sur le terrain des hymnes en dépoussiérant son titre de l’euro 2016.
Même si elle dit ne plus vouloir d’hymne officiel, l’Union belge de football ne manque donc pas de prétendants pour chanter à tue-tête la Belgique et ses diables.