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Le commentateur Marc Delire maintient ses propos CHOC lors du match Olympiacos-Anderlecht: "Voir le mal nulle part, c'est être naïf!"

De nombreux téléspectateurs ont critiqué Marc Delire qui s'est vivement emporté lors des erreurs d'arbitrage qui ont entaché le match d'Europa League Olympiacos-Anderlecht qu'il commentait sur Club RTL. Au lendemain de ses propos, le commentateur a réagi.

Marc Delire commentait le match d'hier entre Anderlecht et l'Olympiacos, dans le cadre des 16es de finale de l'Europa League sur Club RTL. Au cours d'une rencontre où l'arbitre a commis plusieurs erreurs flagrantes, le commentateur a émis des doutes sur le comportement de l'arbitre. Des propos qui ont fait réagir sur les réseaux sociaux. Il est revenu sur cette polémique au micro de Martin Vachiéry: "Au début, je n’avais pas de doutes sur le match. J’estime que l’arbitre a le droit de se tromper même si les premières décisions étaient difficilement acceptables. Mais à un moment, le doute est devenu un soupçon quand tout allait toujours dans le même sens. Il ne faut pas oublier qu’il y a des précédents avérés avec l’Olympiacos. On prétend qu'ils ont acheté 4 titres du championnat grec.  Le comportement de l’arbitre était plus que douteux" a-t-il observé.

Sur la phase qui amène le penalty de Kara, on voit que l’arbitre repart dans l’autre sens avant de siffler le penalty. A-t-il été influencé par le public? "Le public a joué son rôle et il a été correct sauf avec le bus des Anderlechtois avant le match. Il a été bloqué pendant 20 minutes et la police n'est pas intervenue. Il n'y avait pas d'escorte pour le bus.  Sur la phase, j’émets un doute au moment de l’action. Il y a 3 arbitres pour la juger. Les Anderlechtois n'ont pas assez réagi. On est trop gentils. Les Grecs ne l’ont pas été et ils ont eu ce qu’ils voulaient".

Il est également revenu sur des mots qui ont fait la polémique. "Je n'ai pas été trop loin. Les enveloppes ont circulé en Grèce concernant l'Olympiacos. Il ya des faits qui sont avérés. En parlant de la république bananière, ce n’est pas une attaque envers la Grèce. Je parlais des manières. C'est comme dans Tintin chez les Picaros. Celui qui est élu, c'est celui qui a l'armée, l'argent.

"Voir le mal partout, c’est être machiavélique mais voir le mal nulle part, c'est être naïf. Le foot, ce n’est pas le monde des Bisounours. Ce match était pourri". L’arbitre était mauvais, mais que dans un sens. Anderlecht devait jouer à 11 contre 9 et sans avoir concédé un penalty! Je n’ai rien fait de mal, je n’ai pas été vulgaire. J’ai dit les choses comme je les ai vues". 

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